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price of freedom / Sev

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03.07.20 13:21


tumblr_puk6anHGRi1wr08r8o1_400.gifv “price of freedom.” & Sophie. Come back. Et le silence fut brisé par des pas. Des pas qui se pressaient vers elle pour la rattraper. Une fois à sa hauteur, une main fut posée sur son bras pour la retenir, elle cessa sa marche et fit volte face pour se retrouver nez à nez avec cette fille la. Son amie soit disant. Celle qui lui avait promit de ne pas l'abandonner dans cette jungle. Sophie attend. Elle répéta. «Qu'est-ce que tu me veux?» demanda l'interpellée d'un ton froid. Quoi. Tu me fais encore la tête pour hier? Je te jure Sophie que j'y suis pour rien. On étaient censés rentrer plus tôt mais tu connais Alex. Il a commencé à boire et.. Elle se cherchait des excuses, de quoi agacer l'anglaise qui secoua simplement la tête et qui reprit sa route semblant de rien, sans un mot. tu t'es fais engueulée c'est ça? Oh Sophie par pitié arrête un peu de te miner le moral à cause de tes parents. Ils devraient sérieusement penser à te laisser vivre ta vie. Elle n'avait pas tord la dessus. Il était un peu plus de deux heure du matin quand l'étudiante était rentrée chez elle ce matin. A l'entrée, elle avait prit soin d'enlever de suite ses chaussures pour ne pas faire de bruit et réveiller la maisonnée, mais il était déjà trop tard et son père l'attendait déjà de pied ferme sur son fauteuil en velours hors de prix. A vingt cinq ans, il trouvait encore le moyen de l'embrouiller pour une vulgaire sortie entre amis et quoi qu'elle ait pût dire, c'était elle qui avait tout les tords. Dublin est dangereuse pour une fille comme elle, malsaine même et son père ne cesse de le lui répéter. Ce n'est pas comme ci c'était elle qui avait fait ce choix pourtant, de déménager dans une toute nouvelle ville pour une toute nouvelle vie. Il était l'unique fautif de tout, et Sophie ne s'était pas faites prier de le lui rappeler, de le lui cracher au visage. Résultat des courses; elle partit dans sa chambre avec une jolie marque rouge sur la joue. Il l'avait giflé comme il avait l'habitude de le faire quand il voulait montrer qui était le véritable chef de maison. Dommage. Elle s'entendait bien autrefois avec lui.

Perdue dans ses pensées, la demoiselle pressa un peu plus le pas pour regagner au plus vite sa maison, mais une fois de plus, son amie la dissuada. Sophie. Tu es malheureuse et ça se voit. Tu as beau tenter de le cacher moi je sais que tu as besoin d'autre chose pour te sentir bien. Elle pouffa de rire, se demandant bien ce dont sa précieuse amie d'ici pensait quand elle disait cela. L'adrénaline. C'est ce qui te manques véritablement. T'as besoin de te libérer Sophie. Et je sais comment t'aider à le faire. L'influençable Sophie aurait pût continuer sa route et ne pas s'arrêter, ne pas se retourner, ne plus lui parler mais c'était plus fort qu'elle. Elle savait que son amie avait raison et que sa famille l’étouffait de plus en plus.  Comme une corde autour du cou, le moindre de ses faits et gestes étaient dictés par Monsieur Jones et sa pauvre femme trompée, sa mère. Plus les jours filés, et plus Sophie se sentait comme prisonnière de ce monde hostile auquel elle appartenait. Elle s'était même mise à jalouser son amie, qui elle, n'avait ni mère, ni père pour la contrôler. Elle était libre de faire ce qu'elle voulait, sortir à n'importe qu'elle heure, se détruire corps et âme sans que personne n'y prête attention. Les yeux rivés au sol quelques secondes, la concernée finit par se retourner une seconde fois pour croiser le regard malin et le sourire amusé de sa compère. Cette dernière avait bien une petite idée en tête et ne tarderait pas à la lui soumettre. Au même moment, son père l'appela, les yeux cette fois sur l'écran, elle ne décrocha pas, n'en eut pas le courage et finit même par éteindre son téléphone et à le ranger dans la poche de sa veste. Elle se doutait bien que ce qu'elle s'apprêtait à faire était mal, et déconseillé par son paternel, mais elle le ferait, une dernière fois, histoire de profiter un peu de sa jeunesse et de sa vie loin de l'odeur de la bourgeoisie.

Main dans la main, Cata ou "Catallina" l'hispanique déjantée l'emmena dans un bien étrange endroit qui d'apparence, pouvait faire froid dans le dos. Courageux sont ceux qui osent franchir les portes de ce bar fréquenté la plupart du temps par la racaille dublinoise. Les pieds à peine posés à l'entrée qu'elle sentit cette envie de faire demi tour et de fuir le plus loin possible. «Cata c'est pas une bonne idée.»  Elle s'apprêta à le faire quand son amie la retint à nouveau, serrant aussi fort que possible son poignet pour l'entraîner un peu plus à l'intérieur de la bâtisse à peine éclairée par quelques lumières aussi vieilles que le bâtiment pouvait l'être. Détend toi Sophie. Ça va aller. Au passage, elle salua quelques hommes d'un sourire enjôleur et de manières un peu trop féminines en s'engouffrant à l'intérieur, puis au bout de quelques secondes, elle lui lâcha le poignet pour s'intéresser un peu trop à un homme qui lui ne se gêna pas pour commencer à la toucher. «On devraient partir.» Mais il était déjà trop tard. Un autre homme se faufila dans son dos pour effleurer ses courbes, son fessier. «Cata!» Et elle se pressa de rejoindre son amie libérée de son flirt. Vient Sophie! Elle fut de nouveau embarquée jusqu'à un escalier de métal menant directement à un sous sol ou une certaine agitation semblait régner. Dans les bas fonds de Dublin, il y avait cette odeur de transpiration, d'homme et de sang. Dans les bas fond de Dublin, il y avait ses cris, ses encouragements, ses échanges de coups et il en fallait pas plus pour qu'elle comprenne ce qui se tramait par ici. Des combats illégaux ou le vainqueur pouvait empocher une certaine somme. Immobile, le cœur battant à tout rompre, elle observait tout ce beau monde, se demandant sérieusement ce qu'une fille comme elle pouvait faire dans un pareil endroit. Rapidement, un homme la fit revenir sur terre, un homme qui la bouscula vulgairement, le même de toute à l'heure qui avait cherché à obtenir ses faveurs. Cette montagne de muscles torse nu qui se dirigeait jusqu'au ring entouré d'un grillage solide. Il était le prochain challenger, celui venu récupérer la mise, mais pas que. Dans le public, il semblait avoir pas mal de supporter mais tout le lot, seule Sophie semblait réellement l’intéresser, lui qui n'a pas supporter que la belle ne succombe pas à ses avances. Elle aurait certainement mieux fait de faire demi tour ou d'accepter de discuter avec lui plus tôt, car à peine avait-il posé les pieds au centre du ring qu'il leva les bras pour se faire acclamer tout en jurant ramasser la somme misée mais aussi cette brune qu'il pointait du doigt à travers la foule. Et voilà que cette parfaite inconnue, cette bourgeoise discrète devenait à son tour un lot parmi tant d'autres. Mais dans quel merdier elle a pût se mettre. Une chose est sûre, c'était bien la dernière fois qu'elle suivait son amie présente à ses côtés et qui, elle, semblait plutôt bien s'amuser comparé à sa petite camarade. Dernière et unique fois.. à moins que..
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Sev Alenko
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/ ORIGINES : La mère patrie la Russie est le pays qui l'a vu grandir et vivre. Mais ce pays lui est devenu quelque peu hostile, alors le voilà dans un pays étranger pour se faire une nouvelle place. De toute manière, il est chez lui partout.
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/ STATUT : Son cœur n'a pas d'attache et n'en aura jamais. Il aime être libre comme l'air et pouvoir avoir les filles qu'il veut. La corde au cou ce n'est pas pour lui.
/ CRIMINALITE : On le nomme "Le Russe" dans le milieu, c'est un trafiquant d'arme très connu. Il vous trouve tout ce que vous désire, il n'a aucune limite.
/ PSEUDO : Nono
/ CELEBRITE : Cam Gigandet
/ COMPTES : Zoran Romanenko
/ CRÉDITS : Nono
/ MESSAGES : 631
/ PIEGE DEPUIS : 31/05/2020
04.07.20 0:23


Dublin... C'est l'endroit parfait pour s'amuser et aller dans les excès. Par moment, la ville lui fait penser au coin sombre de Moscou ou au endroit les plus dangereux de Rio de Janeiro. Aux yeux des locaux, il n'était qu'un vulgaire étranger, son accent Russe absolument pas caché, il aimait affirmer le fait qu'il n'était pas du coin sans avoir la moindre peur. Certes, les locaux les pus tendres ne disent rien, ce sont des gens "normaux" qui n'iront jamais crier au loup et qui se contentent de vivre une vie à l'abri du danger. Mais ce sont les autres avec qui il prend le plus de risque, les criminels, les mafieux, ces types qui pensent en avoir une grosse dans le pantalon, alors qu'en fait, ils ont juste un gros flingue pour compenser l'absence d'une belle paire de couilles. C'est eux qui pourraient casser la gueule à Sevchenko parce qu'il n'est pas du coin. Sauf qu'on ne vient pas taper sur le plus grand trafiquant de drogue du monde. S'il devrait y avoir un top dix des meilleurs marchand de mort, Sev serait certainement le premier ou au minimum dans le top 3. C'est un garçon compétent, il arrive toujours à trouver et livrer les armes et le plus souvent dans les temps. C'est qu'il a horreur des retards et s'il veut rester au top du top, il ne peut pas se permettre que sa réputation soit entaché. On peut dire qu'il a une sorte de "catalogue" avec des armes et accessoire qu'il garantit de livrer dans les temps. Ensuite, il y a toujours des choses plus "compliqué" à trouver, ça il se donne toujours un meilleur délais, histoire de ne pas décevoir la clientèle. Le jeune homme a déjà vendu un missile nucléaire, autant vous dire que ce fut une vraie galère pour le trouver, ceci a prit plusieurs mois et il devait faire super attention aux américains. Ceci lui a rapporté un petit pactole bien sympathique. Son boulot lui convient et il se fiche que ce soit mal, chacun est libre de faire ce qu'il veut.

Un type à qui il avait vendu des Berreta l'informa que le soir, dans un bar du quartier aurait lieu un "fight-club" c'est typiquement le genre de chose que le Russe recherche. Le trafiquant est un accroc de l'adrénaline, un adepte des sports extrêmes et qui repousse toujours les limites. Se battre fait donc partit des activités qu'il aime faire. Le soir même, il était dans le sous-sol bondé du bar qui avait des airs de bar clandestin. Voilà une ambiance qu'il apprécie et qui lui rappelle quelque part sa mère patrie la Russie. Au début, il resta simple spectateur, il avait acheté une bouteille de Vodka, histoire d'affirmer sa nationalité Russe et d'emmerder bien profondément tous ces putains d'Irlandais avec leur Scotch à deux balles. Au milieu de la "salle" un ring de fortune avait été installé, enfin si on peut appeler ça un ring. En gros, c'était plus un grand cercle vide formé par les gens autour qui regardaient le spectacle. Deux hommes se tapaient dessus en mode total free-fight. Ça c'est le genre de chose qui lui plait. L'un des gars se fit démolir et le vainqueur, un type baraqué fut plus qu'heureux du résultat. La fin du combat marqua une pause de plusieurs minutes.

Le Russe se renseigna auprès de l'arbitre, indiquant qu'il voulait se battre contre le grand Challenger de la soirée aka le type qui avait gagné avant. Il rigola en voyant Sev, certes il n'est pas aussi grand et musclé que cette montagne, mais il peut le faire. Sous-estimer quelqu'un c'est la chose la plus débile à faire. Quand le type fut de retour, tout le monde sembla s'enflammer, surement heureux de pouvoir voir un étranger se faire péter la gueule par un bon vieux Irlandais. Le type indiqua que s'il remportait la victoire, il remportait l'argent et il montra du doigt -ce qui n'est pas bien élevé- une jolie nana qui semblait perdue. La pauvre, on dirait qu'elle ne comptait pas faire partie de la mise. "Mesdames et messieurs, faites vos paris ! Notre Challenger contre un nouveau venu d'un pays lointain !" Il tapa dans ses mains pour annoncer le début du combat.

L'Irlandais fonça tête baissé, comme s'il se prenait pour un taureau. On peut dire qu'il a en dans le pantalon ou qu'il est juste trop con. Sevchenko esquiva le coup sur le côté, c'était assez facile à prévoir et histoire de le provoquer, il le poussa en posant son pied sur son derrière. Ici, c'est lui le patron et il va vite le savoir ! Un grand sourire aux lèvres, il lui fit signe de venir, c'était un moyen de le narguer et de l'énerver, mais il n'avait pas peur. Une première droite fracassa la joue de son adversaire, lui entaillant la peau par la même occasion, faisant couler le sang. Oh s'il veut du challenge il en aura. Le Russe est peut être plus petit et moins musclé, mais c'est un vrai bagarreur. Le combat continue et les deux échanges des coups. Il faut avouer que ce type frappe plutôt fort, mais Sev fait attention pour ne pas prendre un coup qui pourrait le mettre K.O. C'est du Free Fight, pieds et mains sont autorisés. En fait presque tout est permis surtout dans un combat clandestin. Son visage commence à être quelque peu déformé. Son arcade sourcilière est pété, sa pisse le sang, mais ce n'est pas bien grave. Il devrait avoir un bel œil au beurre noir et pas mal de bleu sur tout le corps. Son adversaire, bien qu'il tienne la cadence semble ralentir, bien plus essoufflé que lui et le Russe a prit le soin de frapper à des endroits stratégique pour ankyloser les muscles. C'est un combat de rue, tout est permis. Finalement, il parvient à donner le coup fatal, un direct du droit dans le thorax qui sèche totalement le type, respiration coupé, il s’effondre au sol comme une pauvre merde. L'arbitre décompte et hop voilà qu'il déclare l'étranger gagnant. Les gens cris tout autour, certain conteste le résultat, mais c'est pourtant vrai, leur champion est vaincu. "Mon blé, mec !" demande t-il à l'arbitre qui lui donne avec une certaine rancœur. La fille, il s'en fichait, c'était pas son but ce soir. Mais il voyait que des gars étaient autour d'elle et qu'elle avait l'air effrayé. C'est pas son genre d'aider les gens comme ça, mais il peut bien la sortir de là. Il s'approcha du groupe et s'exclama simplement : "Hey ! Elle est a moi. Fallait vous battre pour la remporter ! тупица" dit-il avec son fort accent russe. Il sait très bien parler sans accent, mais pour faire rager tous ces types, il aime en jouer. Sans trop attendre, il attrapa le bras de la demoiselle pour l'embarquer vers l'extérieur du bar, s'ils arrivent à sortir.
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05.07.20 14:47


tumblr_puk6anHGRi1wr08r8o1_400.gifv “price of freedom.” & Le doigt de l'armoire à glace aux muscles saillants fut pointé en sa direction alors qu'il entrait sur le ring entouré par un grillage solide. Voilà que cette banale petite bourgeoise des beaux quartiers devenait soudainement un trophée, un vulgaire prix à remporter en plus d'une liasse de billets. Depuis quand les êtres humains se marchandes..Si Sophie s'inquiétait de son futur sort, son amie excitée par l'ambiance semblait, elle, beaucoup plus enthousiaste et presque jalouse de ne pas avoir était "choisie".Elle lui aurait offert la place volontiers Sophie. Elle qui aime par dessus tout la discrétion se sentait soudainement bien surveillée par plusieurs yeux posés sur elle. Une échappatoire semblait impossible, les issues étaient toutes plus ou moins bloquées par la foule. Même une petite souris agile et rapide n'aurait pût s'enfuir. L'Anglaise n'eut nullement d'autre choix que de faire face au ring et à ce combat qui s'y préparait. La brune posa finalement ses yeux sur le deuxième combattant, dans sa tête elle se surprenait prier aussi fort que possible pour qu'il soit l'heureux vainqueur du combat histoire d'obtenir sa liberté et de fuir aussi loin que possible de cet endroit. L'hispanique à ses côtés s'était mise à sautiller sur place en hurlant comme la plupart des spectateurs pour encourager les deux combattants. Une foule en délire avide de sang. Elle ne serait pas déçue cette même foule. Les hostilités furent lancées, le combat débuta et dès l'instant ou les premiers coups furent offerts, la jeune femme détourna les yeux pour ne pas regarder la scène.

Elle ne vient pas de ce monde ou la violence est gratuite, ou il faut se battre pour obtenir quelques billets. La vue du sang la dégoûte, lui donne des hauts de cœur. Et pourtant.. La curiosité de voir qui remportera le duel semble plus forte que tout. Lentement, ses yeux se posent à nouveau sur le ring ou les deux hommes continuent de se battre. Son cœur bondit dans sa poitrine en même temps que les coups fusent. La peur et le dégoût avait laissé place à un soudain intérêt pour ce combat illégal. Ses yeux ne perdaient pas une miette du spectacle et ce n'est qu'au moment ou l'imbécile qui avait tenté de la charmer plus tôt s'écroule au sol qu'un sourire se dessine sur sa bouche. Un petit sourire, discret mais bien présent. Intérieurement, elle explose de joie presque.Hé mais c'est qui ce type au juste? demanda une Cata stupéfaite de voir que celui qui, jusqu'à présent, semblait invincible, venait de se faire battre aussi vite. Peu importe qui était cet homme, il venait de réaliser son rêve de se voir libre de tout ce merdier. A moins que.. Autour d'elle, plusieurs hommes se rapprochaient dangereusement d'elle comme pour la retenir prisonnière ici, comme pour tenter leur chance avec elle maintenant qu'elle était libre. L'un d'eux s'était également emparé du bras de Cata pour l'attirer à lui.«Laissez nous tranquilles!» cria la brune en tentant de se débattre quand l'un des irlandais s'était mit à la toucher. etait-ce une chance ou le coup du destin? Elle n'en savait rien mais le challenger ayant remporté le combat plus tôt se présenta rapidement à elles pour venir "récupérer son bien", l'argent ET la fille. Elle n'eut d'ailleurs pas d'autre choix que de le suivre lui qui emprisonnait son bras avec sa poigne pour l'attirer loin de la foule, voir de l'extérieur du bar. «Hé attends! Lâche moi c'était pas prévu ça!» Son regard se focalisa sur Cata qui se trouvait toujours avec l'une de ses brutes. «Laisse moi!» hurla à nouveau la petite teigne en finissant par ne plus voir son amie étudiante dans son champ de vision. Elle craignait pour elle, mais ne devrait pas. Catalina était une habituée des lieux, une habituée de ses hommes et de leurs vices. Toujours en quête de conquêtes et d'adrénaline, elle devait au fond être fort heureuse qu'un homme lui avait mit la main dessus pour le reste de la soirée, d'ailleurs, elle n'avait même pas cherché à se débattre elle contrairement à Sophie. Tout autour d'eux, toujours ses mêmes hommes aux regards menaçants, vite qu'ils sortent d'ici. L'air frais de l'extérieur commence à lui manquer. «C'est un malentendu.» Peu importe le malentendu que ça pouvait être, elle finit par regagner la sortie au bout de plusieurs minutes ne faisant que peu attention aux amis du vaincu de ce soir qui semblaient décidés à poursuivre "le gagnant" et son prix.

Une fois dehors, la brune lui repoussa la main violemment de sur son bras. «Mon amie est à l'intérieur de ce bar faut que j'ailles la chercher elle est en danger la dedans!» Ou pas. Est-ce que Cata était vraiment en danger? Pas vraiment. Bien au contraire. Si vraiment elle l'aurait été, elle aurait été la première à crier à l'aide, chose qu'elle n'avait pas faites. «Et merde.. Qu'est-ce qui va se passer maintenant?» Elle posa ses deux mains de chaque côtés de sa tête, encore remué par le combat, le cœur encore battant à tout rompre dans sa poitrine et il n'était pas prêt à récupérer un rythme normal ce pauvre cœur bientôt remit à rude épreuves. Derrière eux, les fameux sbires du perdant, trois d'entre eux du moins venus récupérer la brunette de leur collègue, celle qu'il désirait vraiment remporter ce soir et qui avait été remportée finalement par l'étranger. La fille reste la. Déclara l'un d'eux en direction de l'étranger et de la brunette. Comment ça la fille reste la? Il en était hors de question, Sophie refusait de rester ici, dans ce bar miteux avec tout ses dérangés du cerveau. Et même si elle aurait été le prix de ce soir, le vainqueur se trouvait à ses côtés est avait bien le droit de repartir avec elle. «Attendez Messieurs! On peut discuter, il y a comme un malentendu, je ne suis, à la base le prix de personne. Je suis juste une.. cliente d'ici? Rien de plus.» A quoi bon tenter de s'expliquer avec des mecs pareils. Sophie l'ignorait jusqu'à présent mais sa courtoisie ne la mènera à rien ici. Ici ou les chiens se font abattre, ou n'importe qui d'ailleurs. L'homme face à elle dirigea sa main jusqu'à sa veste ou elle pût apercevoir quelque chose en métal briller. Une arme. Un véritable flingue. Le mec était armé et semblait bien prêt à faire usage de cette dernière pour qu'ils obéissent à ses souhaits. Cette fois, son cœur ne fit pas que s'emballer mais s'arrêta même l'espace de quelques secondes. Au moindre faux pas, elle risquait clairement sa vie pour le coup. Est-ce que l'arme à feu est nécessaire? Surtout pour une pauvre fille comme elle? Pas sûr. Elle ne comprendra décidément jamais les hommes, ou du moins ses hommes la. Il y avait en eux comme un désir de venger leur collègue vaincu ce soir, pour en même temps qui sait, récupérer les billets que l'étranger a remporté tout comme Sophie qui était misée. C'était ça la dure réalité de la vie, l'illégalité ou tout les coups sont permit Les règles il n'y en a aucune, les lois non plus. Le gagnant peut tout gagner tout comme perdre tout en un coup de feu. Les yeux écarquillés et tétanisée devant cette main posée sur l'arme à feu encore rangée, la brunette se voyait déjà étalée sur le bitume, se vidant de son sang. Pourquoi avait-elle accepté cette sortie de ce soir? Par manque d'adrénaline et de piment dans sa vie? Elle ne serait pas déçue ce soir en tout cas. 
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Sev Alenko
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/ ORIGINES : La mère patrie la Russie est le pays qui l'a vu grandir et vivre. Mais ce pays lui est devenu quelque peu hostile, alors le voilà dans un pays étranger pour se faire une nouvelle place. De toute manière, il est chez lui partout.
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/ STATUT : Son cœur n'a pas d'attache et n'en aura jamais. Il aime être libre comme l'air et pouvoir avoir les filles qu'il veut. La corde au cou ce n'est pas pour lui.
/ CRIMINALITE : On le nomme "Le Russe" dans le milieu, c'est un trafiquant d'arme très connu. Il vous trouve tout ce que vous désire, il n'a aucune limite.
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09.07.20 0:36


Ce combat, il l'avait gagné et il le méritait. Tous les coups étaient permis et comme son adversaire, il n'avait pas lésiné sur les endroits qui font mal et encore... il lui avait épargné des coups de pieds dans les burnes qui l'auraient surement séché sur le coup. Donc on peut dire que le Russe a plutôt joué franc jeu sur ce match là, histoire d'éviter de trop s'attirer la rage des autres. Car même s'il n'a pas peur d'eux, il n'oublie pas qu'il se trouve en minorité, ici il n'est pas dans sa chère patrie avec tout un tas de Ruskov prêt à se battre pour le défendre. C'est l'inverse, il est chez l'ennemi et il vaut mieux mesurer les dégâts avant de se faire tuer. Bien entendu, l'emporter n'allait pas satisfaire tout le monde. A cause de lui, des sales types venaient de perdre leur mise, soit un sacré paquet d'argent. N'étant pas totalement con, il récupéra son gain dans le but de partir assez vite avant qu'on ne vienne l'arrêter pour lui casser la gueule dans un combat qui n'aura rien de juste. L'arbitre un peu déconcerté lui laissa l'argent et voyant que la jeune femme n'avait pas l'air consentante dans l'idée d'être l'objet d'un groupe de type, il alla la récupérer. Après tout, elle fait partie de la mise, non ?

Alors qu'il se dirigeait vers la sortie en tenant toujours la main de la fille qui semblait se débattre, il récupéra sa veste qu'il avait laissé à un type. En échange, il lui fila un billet, histoire qu'il lui fiche la paix. Vous savez... dans ce monde, tout s'arrange avec de l'argent, c'est ça le secret. Un regard derrière lui suffit à Sevchenko pour voir plusieurs gars bouger pour les suivre. Comme prévu, les ennuis arrivent, ceci le fit sourire plus que de l'inquiéter. L'adrénaline c'est sa drogue, il aime quand les choses partent en couilles et que sa vie peut rapidement être en jeu. "Hey poupée, tu vas arrêter de gesticuler et de te plaindre, on a vraiment pas le temps pour ça," avait dis le trafiquant en s'arrêtant et parlant à la nana qui était son prix. D'un signe de tête, il montra les gars qui se frayaient un chemin dans la foule avec un air pas content et l'envie de les étriper. Maintenant que le message était passé, elle va peut être se laisser faire et arrêter de le ralentir. Quoi que si elle continue à faire ça, il n'aura qu'à la lâcher et la laisser en pâture aux lions du coin...

La course vers la sortie reprit, il fallut traverser le bar en haut et finalement l'extérieur s'offrit enfin à eux. Sev enfila sa veste, il espérait que les salauds de l'intérieur avait lâché l'affaire. La fille indiqua qu'ils ne pouvaient pas partir, que son amie était à l'intérieur et qu'il fallait l'aider. Vraiment ? Sincèrement, il ne sait pas de qui elle parle et même si elle était en danger, il s'en bat les couilles royalement. "Baby, ton amie n'a pas beso..." Une fois s'éleva derrière eux. Merde. Voilà que la troupe de clown vient d'arriver. Pour une obscure raison, il refusait de laisser partir la fille. "Et pour qu'elle putain de bonne raison je devrais vous la laisser ? Elle faisait partie de l'enjeu du combat, non ? Alors va dire au connard que j'ai vécu, qu'elle est a moi, je l'ai gagné. Dis lui d'apprendre à gagner, comme ça il aura ce qu'il veut," Il faut toujours qu'il se montre un peu provoquant et le fait qu'ils soient plus nombreux ne lui fait pas du tout peur. La nana imagina pouvoir discuter avec ces gars là. Ce sont clairement des mafieux, il n'y a pas de discussion possible dans ce genre de cas. D'ailleurs, l'un d'eux commença à écarter sa veste, montrant sa magnifique arme qui y était caché. Bien sûr... "Vraiment... vous voulez vous la jouer comme ça ? Tirer sur un type qui n'a pas d'arme ? C'est fou ça... les Irlandais vous avez vraiment rien dans le pantalon en fait !" Oui, de la provocation encore, mais qui sert de diversion en même temps. D'un geste rapide, il récupéra son arme qui se trouvait à l'intérieur de sa veste et tira le premier coup sur le mec armée qui s'effondra au sol. Les hostilités sont lancées. Sans attendre la suite, il se saisit du bras de la fille pour la tirer vers la ruelle et éviter la pluie de balles qui ne va pas tarder. Sa moto était garée dans le fond. Pour atteindre le bout de la ruelle, il y avait une vingtaine de mètres, quelques poubelles trainaient et pourraient servir de couverture. A la première, il passa derrière pour se cacher et ainsi se protéger. "Tu vois la moto là bas. Tiens prends ça," dit-il en lui donnant les clefs du véhicule. "Tu fous le casque sur ta tête et tu mets le contact, pendant ce temps là je nous couvre. Tu t’assois à l'arrière. Dès que j'arrive, on dégage !" Le Russe se penchant sur le côté pour tirer et ainsi ralentir les gars qui voulaient les rejoindre dans la ruelle. "Qu'est-ce que t'attends ? Cours ! Putain de merde !" Il attendit qu'elle soit sur la moto pour pousser la poubelle au milieu et ainsi couvrir au mieux sa fuite. Les balles fusaient, il n'avait pas intérêt de ralentir. Une fois à la moto, il monta dessus, mit les gaz et la roue arrière de la KTM crissa sur le sol. Les voilà en train de fuir cet endroit merdique. Il ne reste qu'a espérer qu'ils ne vont pas essayer de les suivre en voiture. Techniquement, ils ont de l'avance, mais avec la 125 il aura du mal à distancer de grosses voitures, sauf si le terrain de jeu reste la ville, c'est lui qui aura l'avantage avec la petite cylindrée.
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13.07.20 11:54


tumblr_puk6anHGRi1wr08r8o1_400.gifv “price of freedom.” & La liberté a un prix. Prendre le risque de tout perdre y comprit sa vie faisait parti des enjeux, il fallait qu'elle l'accepte, elle n'avait pas le choix désormais. Misée lors d'un vulgaire combat de rue illégal, la jolie brune aux yeux azurs avait finit malgré elle à l'extérieur du bâtiment avec le grand vainqueur du combat. Ce monde n'était pas le sien, elle qui vit dans celui ou les règles et les lois sont de rigueur. Ici, il n'en existe aucune, tout les coups sont permis pour obtenir ce dont on désire. Traînée jusqu'à l'extérieur du bar, elle s'était inquiété du sort de son amie alors que cette dernière se trouvait entre les mains de quelques hommes mais cette dernière ne semblait avoir besoin d'aucune aide en réalité pour s'en sortir. Alors qu'elle discutait avec l'homme qui l'avait "gagné", d'autres se présentaient à eux pour en découdre, se disputant cette bourgeoise qui de base n'avait rien demandé à personne. En bonne personne bien élevée et courtoise, elle voulu privilégier le dialogue et la discussion à la barbarie mais cela ne semblait pas dans les plans de l'homme face à elle qui le lui fit comprendre en lui offrant sous le nez la vision d'une arme à feu brillante et chargée qu'il n'hésiterait pas à dégainer à la moindre entourloupe. Une arme qui serait capable de lui ôter si facilement la vie. La première fois qu'elle en avait une sous le nez, la première fois qu'elle avait senti sa vie presque lui filer entre les doigts. Elle voulait de l'adrénaline, elle en aurait très bientôt. Son cœur s'excitait dans sa poitrine, la peur lui rongeait les entrailles, les tordaient durement. Puis, sans qu'elle n'ait le temps d'appréhender quoi que ce soit, un premier tir se fit entendre. Ça ne provenait pas de l'homme qui voulut se montrer menaçant mais celui de derrière, celui qui l'avait remportée et qui l'avait tirée jusqu'à l'extérieur. Un tir et sa cible tomba raide au sol.Face à cette scène, Sophie poussa un premier cri d'horreur en portant ses mains à sa bouche pour cacher son effroi. Un homme venait tout juste de mourir devant elle, de la pire façon possible, d'une façon qu'elle n'avait jamais pût voir jusqu'à présent. Dans son milieu, elle ne la côtoie pas la mort, tout est beaucoup trop "clean" pour qu'une telle chose arrive. Tout s'enchaîna rapidement, trop vite pour qu'elle comprenne quoi que ce soit, pour qu'elle réalise quoi que ce soit. Elle se retrouvait cette fois mêlée, malgré elle, à une espèce de traque, la cible étant ce combattant émérite qui l'attirait avec lui dans une petite ruelle ou il serait partiellement protégés de plusieurs tirs "ennemis".«T'as tué un mec.. T'as tué un mec ! » qu'elle hurla hystérique et tremblante en fermant les yeux pour tenter de se chasser l'image de la tête et d'éviter par la même d'occasion d'entendre les impacts de balle en leur direction. Elle va mourir. C'est sûr qu'elle va mourir. La voix de l'homme se fit de nouveau entendre, cette fois il lui donna un ordre, un ordre qu'il fallait qu'elle suit à la lettre, elle n'avait pas le choix si elle voulait survivre. Dans la paume de main il déposa des clefs, les clefs de sa moto. La prochaine étape consistait à ce qu'elle court jusqu'à cette dernière pour la démarrer, puis qu'elle attendes gentiment qu'il arrive pour fuir loin de cet enfer. C'était un bon plan, si Sophie n'était pas aussi effrayée. Son corps eut bien du mal à se mettre en mouvement et ce n'est que lorsqu'il lui hurla dessus une seconde fois qu'elle s'activa cette fois.

Elle se mit à courir sans réfléchir, sans penser. Juste courir à toute enjambée le plus vite et le plus loin possible pour sauver sa peau, pour tenter de sortir de toute cette merde. Elle est beaucoup trop jeune pour mourir, il est beaucoup trop tôt pour qu'elle finisse étalée sur le bitume, inconsciente et se vidant complètement de son sang. Ses jambes auraient pût céder à n'importe quel moment tant la peur la submergeait, son corps tout entier était secoué par des espèces de spasmes. Cata aurait certainement dit que c'était l'adrénaline, elle aurait même sûrement rit en voyant l'état de son amie, sauf que Sophie, elle, n'avait pas envie de rire cette fois. On était loin d'une vulgaire fête entre amis ou juste l'alcool est capable d'ôter des vies. Cette fois, c'était la cour des grands, avec des armes à feu, du danger en puissance fois milles. A hauteur de la moto, la brunette aux mains tremblantes chercha un moyen de la démarrer. Elle n'avait jamais fait ça de sa vie, elle ne touche pas aux véhicules, en temps normal c'est elle qui se fait conduire. Ça ne devait pas être bien compliqué pourtant. Il fallait qu'elle fasse vite et qu'elle fasse bien, qu'elle exécute les ordres à la perfection. Au bout de plusieurs minutes, elle trouva le moyen de faire démarrer la moto, et dès cet instant, elle y installa le casque sur sa tête et prit place à l'arrière comme convenu, son pied battant contre l'engin à un rythme fou. L'angoisse disparut au moment ou l'étranger arriva à elle pour démarrer et filer à travers la ville à vive allure. Par réflexe et surtout pour éviter de tomber, elle se maintint à sa taille aussi fort que possible et ferma les yeux une nouvelle fois. Peu importe ou ils iraient, le plus loin serait le mieux. Elle n'eut pas même le courage de regarder en arrière pour voir si ils étaient poursuivis ou non mais le temps que les alliés de l'homme abattu plus tôt entrent dans leur véhicule et démarre, la moto avait pût rouler déjà bien loin. Son palpitant se soulevait à chaque virage, à cette vitesse folle qui lui donnait cette fois l'impression qu'elle pouvait mourir bêtement dans un accident, une collision.«Ralenti!» qu'elle demanda dans un premier temps d'un ton suffisant pour qu'il puisse l'entendre. Elle serra un peu plus fort sa taille elle qui était sous l'influence d'une anxiété nouvelle et d'une peur jamais ressentie jusqu'à maintenant. «Tu vas nous tuer! Ralenti! » qu'elle hurla à nouveau. La vitesse lui donnait envie de rendre tout ce qui pouvait se trouver dans son estomac. Qu'elle horrible sensation. Prise de vertiges, ayant ce besoin d'accepter la situation, il fallait que tout cela cesse histoire qu'elle puisse s'en remettre, qu'elle réalise que l'homme avec lequel elle se trouvait présentement venait tout juste d'abattre un autre homme, qu'il était armé et potentiellement dangereux qui puis est. Jusqu'à présent il ne lui avait fait aucun mal, mais qui sait ce qu'il serait capable de lui faire.

Elle attendrait que la moto cesse sa course, qu'elle s'arrête pour expirer profondément, gardant ses mains, ses ongles même agrippés au haut du malfaiteur qui, mine de rien, lui avait en fait sauvé la vie. «J'me sens pas bien.» Et elle finit par sortir de la moto , ôta son casque pour filer dans un coin, quelque part pour expulser le peu qu'elle pouvait avoir dans son estomac, soit juste de l'eau. Très glamour Sophie, en même temps qu'est-ce qui a était glamour ce soir? Absolument rien. Les deux mains posés sur ses genoux, elle finit par se redresser, inspira l'air à pleins poumons en se remettant les événements de cette terrible nuit en tête. «Et maintenant..?» Elle ne pouvait pas rentrer chez elle dans cet état la, ses parents se poseraient certainement des questions. il fallait qu'elle se calme à tout prix, elle n'avait pas le choix. Et puis, pour le coup elle n'était pas toute seule, il y avait cet homme dont elle ne connaissait même pas le nom. Ce criminel qui avait tué quelqu'un sans aucun remord, cet homme qui malgré lui, lui avait sauvé la vie au final, devait-elle le blâmer d'avoir fait ce qu'il avait fait? Non. Si.. Peut-être.«Tu vas me tuer?» qu'elle finit par lui demander en tournant ses beaux yeux clairs de biche en sa direction. Cet homme était armé, il pouvait le faire si il en avait vraiment envie, mais en as-t'il envie au juste?
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Sev Alenko
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/ ORIGINES : La mère patrie la Russie est le pays qui l'a vu grandir et vivre. Mais ce pays lui est devenu quelque peu hostile, alors le voilà dans un pays étranger pour se faire une nouvelle place. De toute manière, il est chez lui partout.
price of freedom / Sev Tumblr_inline_picgmyUCjK1uyanoc_540

/ STATUT : Son cœur n'a pas d'attache et n'en aura jamais. Il aime être libre comme l'air et pouvoir avoir les filles qu'il veut. La corde au cou ce n'est pas pour lui.
/ CRIMINALITE : On le nomme "Le Russe" dans le milieu, c'est un trafiquant d'arme très connu. Il vous trouve tout ce que vous désire, il n'a aucune limite.
/ PSEUDO : Nono
/ CELEBRITE : Cam Gigandet
/ COMPTES : Zoran Romanenko
/ CRÉDITS : Nono
/ MESSAGES : 631
/ PIEGE DEPUIS : 31/05/2020
18.07.20 0:55


La situation avait dégénéré plus vite qu'elle ne l'aurait dû. Lui qui était venu pour s'amuse et passer du bon temps, voilà qu'il se retrouve à bouffer de l'adrénaline puissance mille. Ô ça ne lui déplait pas, il adore ça et pour le coup même si la situation parait dramatique, il s'amuse beaucoup. Vous savez, le danger et les sensations fortes, ce sont la drogue de notre trafiquant d'arme. C'est le genre de type qui fait absolument tout ce qu'il y a de plus dangereux dans le monde. Nager au milieu des requins, il l'a fait, faire du sauf à l'élastique, c'est devenu un passe temps, du bestjump c'est limite une passion... Et j'en passe tellement. Pour lui, pas besoin de cocaïne ou de LSD, non, le danger ça lui suffit largement. Ça explique pourquoi une fusillade ne lui fait pas plus peur que ça. De toute sa vie, il ne lui semble pas avoir eu peur, il a toujours été un gamin turbulent et sa mère c'est fait tout un tas de cheveux blancs à cause de lui.

Malgré tout, s'il restait trop longtemps dans cette ruelle, il finira rapidement par être à court de munition et sans munition, c'est la mort qui risque d'arriver pour l'emporter en Enfer. Sauf que même si les Enfers ont un côté attrayant, il aimerait encore s'amuser sur terre pendant un moment. Mais tout repose sur sa comparse improvisée et imprévue du moment. Cette nana, il ne savait pas s'il pouvait compter sur elle. C'est qu'elle est mortifiée la pauvre d'avoir vu un type se faire buter. Merde, n'a t-elle jamais vu un film ? Ou juste les informations à la télévision ? Des morts, tout le monde en voit chaque jour et personne n'en a rien à foutre. Il suffit quelle voit un type -qui voulait les tuer- se faire buter pour qu'elle devienne hystérique. Ah les femmes... parfois il trouve ça ennuyeux... surtout en dehors d'un lit. Quoi ? Vous le trouvez misogyne ? Oui, c'est le cas et il s'en bat royalement les couilles si vous voulez tout savoir. Sevchenko est un criminel, pas un ange, gardez ça à l'esprit !

Le Russe garda la position aussi longtemps qu'il le pouvait avant de foncer à sa moto. Par chance, le contact était mis, il n'avait qu'à appuyer sur le démarreur, passer la première et filer. Les balles pleuvaient et ils passèrent à travers... enfin presque. Une balle toucha le trafiquant, mais avec la dose d'adrénaline qui circule actuellement dans son sang, impossible de sentir quoi que ce soit. Sur sa KTM, il fonçait à tout allure pour fuir la zone. Les limitations de vitesse étaient largement dépassé, d'un cinquante en ville, imaginait plutôt du quatre vingt. Dans les virages, il couchait sa moto comme jamais, son genou frôla le bitume à quelques centimètres près. A aucun moment, ils ne furent rattrapés, rien ne peut rivaliser avec une moto en ville, plus petit, plus léger, plus agile, c'est le véhicule parfait pour se déplacer. La fille le ramena à la réalité, elle voulait qu'il ralentisse... Eh merde, quelle idée stupide de l'avoir sauvé. La bougresse insista et il n'eut d'autre choix que de s'arrêter dans un coin tranquille, une petite rue déserte qui menait vers le port. Sans tarder, elle quitta la moto, c'est tout juste si elle ne rejeta pas ce qu'elle avait mangé. De plus, elle ne sentait pas bien. Bon sang, c'est possible d'être aussi fragile ? Il leva les yeux au ciel et descendit de sa bécane. "Hey ma jolie, on a pas trop le temps de trainer ici. Alors grouille toi !" lui lance t-il alors qu'elle demande s'il allait la tuer. Quoi ? C'est quoi son délire ? Sev se mit à rire, comme si on venait de lui raconter la blague du siècle. "Je ressemble à un serial killer ?" lui demande t-il. Le jeune homme n'avait pas encore vu, son propre sang su son t-shirt, il n'en ressentait pas non plus la douleur. "Écoutes, j'suis peut-être pas un gentil, mais j'ai pas de raison de te tuer. Le meurtre, ça m'excite pas. Alors, si tu veux pas que ces types nous retrouve, je te conseille soit de remonter sur ma moto et qu'on se cache pour la nuit histoire que ça se tasse, ou alors tu te démerdes pour rentrer chez toi... mais ça sera à pied !" En plus d'être misogyne, ce n'est pas non plus un gentleman. Mais ils n'ont pas de temps à perdre en bavardage. Quand il posa une main sur sa hanche en guise d'attente, il trouva le tissus visqueux. C'était quoi ça ? Quand il regarda sa main, il vit le sang. Machinalement, il ouvrit sa veste et comprit qu'il avait été touché. "Fais chier !" peste t-il d'un air rageur.
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21.07.20 14:26


tumblr_puk6anHGRi1wr08r8o1_400.gifv “price of freedom.” & Fuir la mort. Son objectif principal avait été d'éviter de se faire froidement abattre. Une réaction normal et commune à tout les êtres vivants. Plus tôt, elle avait vu un homme se faire tuer d'une balle entre les deux yeux. Jamais elle ne pourrait oublier cette vision d'horreur, les yeux révulsés de ce gaillard, l'impact de la balle et son bruit. Bienvenue dans le monde réel Sophie, loin de celui qu'elle a l'habitude de côtoyer jour après jour. Tout s'enchaîna rapidement par la suite. Un ordre et elle fonça tête baissée jusqu'au véhicule pour le mettre en marche tout en priant du plus profond de son être que l'homme qui l'avait remporté lors du combat s'en sortirait vivant pour la conduire loin de l'enfer. Casque sur la tête, elle patienta, battant du pied sur le bitume, anxieuse avant de le voir arriver. Elle n'eut à peine le temps de lui échanger un regarda qu'ils prirent la fuite loin de tout. Ses mains s'enroulaient autour de la taille du criminel, ses ongles l'agrippaient aussi fermement que possible pour éviter de chuter hors de la moto au vu de la vitesse qu'il avait adopté et ils filaient loin, très loin, dans l'espoir de ne pas se faire rattraper.

Ils filaient, à vive allure, trop vive allure. A ce train la, ils ne mourraient pas d'une balle perdue mais d'un accident. Ralenti. qu'elle lui demanda dans un premier temps sans que cela n'eut un quelconque effet sur le conducteur, puis elle lui hurla une seconde fois de ralentir avant qu'ils n'entrent en collision avec un autre véhicule, un arbre ou que sais-je. Son cœur se soulevait dans sa poitrine, frôlant l'arrêt cardiaque à de multiples reprises. L'adrénaline était beaucoup trop forte pour elle. Il finit par s'arrêter, et eut tout juste le temps de le faire qu'elle quittait l'engin pour s'éloigner quelques secondes, le temps de cracher un peu d'eau de sa bouche. La seule chose que contenait son estomac et qui avait sût remonter jusqu'à sa gorge sans difficulté. En bruit de fond, la voix de l'inconnu, l'incitant à se dépêcher pour qu'ils reprennent leur course histoire de se planquer et d'éviter d'être retrouvés par ceux qui ne désirent qu'une chose ce soir: Les abattre tout les deux. Elle se redresse, frotte sa bouche avec le dos de sa main avant de jeter un œil sur l'homme face à elle. Cet homme est armé et peut la tuer à n'importe quel moment. Il n'aurait aucune raison de le faire en réalité mais l'avoir vu ôter une vie précédemment lui faire croire qu'elle pourrait facilement être la prochaine sur sa liste surtout qu'il n'a pas l'air très emballé de se traîner une épine dans le pied durant cette cavale. «Tu viens tout juste de tuer quelqu'un et devant moi en plus ! Alors je doute que tu sois le plus grand des saints!» qu'elle lui cria dessus en fronçant les sourcils. Serial Killer peut-être pas mais homme dangereux, certainement. Le genre d'homme qui ne fait pas parti de son entourage, ou du moins, pas à sa connaissance.

Un homme qui pourtant en avait bien dans la tête. Fougueux et intrépide mais intelligent le bougre. Deux options s'offraient à elle. Soit elle prenait le risque de fuir avec lui pour la nuit et de se cacher pour que les chose se tassent par elle même, soit elle prenait le risque de repartir seule jusqu'à chez elle, en pleine nuit, sachant que si les hommes précédents la retrouves, ils risquent certainement de lui faire passer un sale quart d'heure. Nouvelle à Dublin, elle avait qui puis est , un sens de l'orientation déplorable, elle ne connaissait pas encore bien les lieux et peinerait certainement à retrouver son chemin. Entre rester avec un criminel et un malfrat ou errer seule dehors avec le risque de rencontrer bien pire que lui, le choix est vite fait. «Ok.ok. j'te suis. J'peux pas prendre le risque de rester toute seule.. J'ai une chance sur dix de survivre si je fais ça.» Elle aussi était intelligente, trop intelligente même pour certains. Elle s'apprêtait à remonter sur la moto quand son regard se posa sur la main du garçon qui réalisa bien trop tard qu'il avait été touché par une des balles tirées lors de leur fuite. «T'es touché..» souffla la brune en ouvrant un peu plus ses yeux, stupéfiée. Elle n'avait pas prévu qu'il soit touché en réalité. Elle pensait les choses trop simples et faciles, comme s'ils pourraient fuir et rester cacher tranquillement jusqu'au lever du soleil. Le monde dans lequel elle se trouvait ce soir n'était pas comme ça, ce n'était pas un monde rose et ensoleillé, loin de la.

Aller à l'hôpital n'était pas la meilleure des solutions. Elle ne savait rien de lui, si ça se trouve il fait parti de ses hommes recherchés que la police recherche activement. Elle ne pouvait pas prendre le risque de se retrouver mêlé à ses combines malgré elle. Que dirait les forces de l'ordre en la voyant traîner avec un criminel? La deuxième solution était qu'elle s'occupe d'elle même de cette blessure dans leur abri de fortune de cette nuit. «Ecoute.. Je fais des études de médecine. Je peux t'aider. Il me faut juste de l'alcool et des linges.. et voir si la balle est encore logée à l'intérieur pour l'extraire.»  Techniquement parlant, les pharmaciens sont d'avantage doués pour prescrire des médicaments et renseigner les patients sur les traitements à prendre que dans les actes chirurgicaux et médicaux seulement praticables par les professionnels adéquats, mais ayant apprit le corps humain et ses différentes pathologies au cours de ses études, elle peut aisément appliquer les premiers soins sur le jeune homme. «C'est soit ça. Soit l'hôpital.. Si tu restes comme ça, tu vas te vider de ton sang.» La blessure n'avait pas l'air mortelle, au vu de la façon dont l'homme se tenait et semblait réagir face à elle. La ou ça devenait dangereux c'est l’hémorragie que le coup de feu avait provoqué, il fallait à tout prix arrêter que le sang s'écoule. «J'connais pas les environs.. Il doit bien y avoir un endroit pas loin ou on peut se cacher non? Tu pourras pas reprendre la route comme ça, à moins que je ne fasses moi compression sur ta blessure durant le trajet.» qu'elle lui suggéra comme idée. Il fallait qu'il lui fasse confiance, elle pourrait l'aider comme lui venait de le faire en la sortant de ce mauvais pas. En aucun cas elle ne cautionne ses agissements et ce meurtre qu'il avait commit, elle restait malgré elle effrayée à l'idée de se trouver en présence d'un dangereux criminel, mais la pour le coup, elle n'avait pas vraiment le choix pour survivre. Soit elle acceptait de coopérer avec lui et ils s'en sortaient tout les deux, soit elle perdait la vie et lui la sienne. A choisir, elle préférait clairement s'extirper de ce mauvais pas, et si en plus elle pouvait faire don de ses talents en médecine auprès de quelqu'un, alors c'était encore mieux. «Alors.. Qu'est-ce qu'ont fait? On s'fait confiance ou bien on meurt chacun de nôtre côté?» qu'elle lui demanda en se rapprochant d'un pas supplémentaire de lui. Ce qui est sûr c'est que soigner une blessure pareille dans une ruelle n'est pas franchement recommandée, surtout qu'ils sont recherchés et poursuivis. C'est un batîment, qu'importe son état, délabré ou récent, abandonné ou autre qu'ils devront trouver pour qu'elle puisse l'aider à guérir, et par la même occasion se cacher jusqu'au petit matin, à moins que.. «En fait.. J'crois savoir ou ont pourraient aller.. Et la bas, je suis sûre de trouver le matériel pour soigner ta blessure.» Cet endroit c'était chez elle. Vu l'heure, son père devait certainement être de sorti, et sa mère et bien.. Elle serait certainement endormie dans son lit, avec un verre en cristal vide sur sa table de chevet comme tout les soirs. Cet endroit ou elle vivait, le quartier des plus riches, georgian serait la couverture parfaite pour eux. Personne ne penserait aller les chercher dans un pareil endroit, un endroit surveillé ou certaines fois, les forces de l'ordre tournaient pour s'assurer que le quartier soit protégé de tout.«Chez moi. Dans l'une des résidence du quartier Georgian. On y trouvera de l'alcool pour désinfecter ta plaie, et même de quoi extraire une éventuelle balle..» C'était de l'inconscience d'inviter un parfait inconnu chez elle, mais en même temps, cet environnement elle le connaissait mieux que personne. Le risque était bon à prendre reste à savoir si l'homme marcherait dans son plan ou non. Elle était prête à compresser sa blessure si il le fallait durant le trajet, elle était prête à le planquer dans sa chambre toute la nuit si il le fallait, à la verrouiller jusqu'au petit matin pour qu'elle puisse être saine et sauve. L'enjeu était grand, le danger tout autant, mais c'était bien la, le seul endroit auxquel elle pensait pouvoir se planquer sereinement sans prendre le risque d'être retrouvée et de se prendre une balle à son tour.


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/ STATUT : Son cœur n'a pas d'attache et n'en aura jamais. Il aime être libre comme l'air et pouvoir avoir les filles qu'il veut. La corde au cou ce n'est pas pour lui.
/ CRIMINALITE : On le nomme "Le Russe" dans le milieu, c'est un trafiquant d'arme très connu. Il vous trouve tout ce que vous désire, il n'a aucune limite.
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26.07.20 22:59


Quelle drôle d'idée il avait eu de sortir cette fille de là ! C'était à peu près sûr qu'elle allait être un boulet qu'il allait devoir se trainer. Le simple fait qu'elle demande qu'il ralentisse était embêtant et Sevchenko n'est pas trop le genre d'homme qui écoute les autres en général. Mais là, il l'avait pas, refusant qu'elle fasse une crise d'hystérie ou un truc con qui les feraient chuter tous les deux de la motos. Une fois qu'elle eut "gerbée" ces tripes sur le sol, à croire qu'elle est incapable d'encaisser l'adrénaline, elle expliqua qu'elle était choquée qu'il ait tué quelqu'un et qu'elle devait encaisser ça. Roooh, juste pour ça ! S'il devait pleurer à chaque fois qu'il a tué un connard. "Hey, ce type t'aurais tué sans hésiter, tu devrais me dire merci !" Aucune reconnaissance, il aurait dû s'en douter, c'est pas le genre de nana à dire merci quand on lui a sauver la vie. Pffff, il aurait vraiment du la laisser là bas et se tirer sans elle, ça lui aurait surement évité des ennuis. Malgré ça, il lui donna le choix, soit elle reste ici et se débrouille pour rentrer chez elle en prenant le risque de peut être se faire attraper par les mafieux de tout à l'heure. Ou elle vient avec lui pour se cacher et éviter de finir avec une balle au milieu du front. C'était son choix, il ne la forcera pas quoi qu'il arrive. C'est peut-être une peureuse, mais elle savait qu'être seule lui apporterait des problèmes, du coup, elle accepta de suivre le Russe, même si s'était un parfait inconnu et un tueur. Tout comme lui, elle remarqua qu'il était blessé. "C'est rien !" dit-il, habitué à avoir des blessures, il avait déjà vu bien pire par le passé.

La fille indiqua qu'elle avait fait des études de médecine et qu'elle pourrait l'aider. Alors il est tombé sur le bon numéro, une infirmière rien que pour lui, l'idée était presque plaisante. "Écoute, on a pas besoin de tout ça, j'ai juste besoin d'alcool, de fil et d'une aiguille." Ce n'est pas un douillé, des blessures, il en a déjà réparé lui même et si pouvait le voir nu, elle aurait l'occasion de découvrir diverses cicatrices sur son corps. Il n'en est pas non plus criblé, mais il en a un peu partout. C'est le résultats de fractures ouvertes, de combat, de chute, de balles l'ayant perforé et on peut même trouver la trace d'une morsure de chien. Sev... il a le goût du risque, tous les trucs dangereux, il les fait sans réfléchir et bien sûr des fois ça foire et hop une blessure. Quand on fait de la moto cross, une chute est vite arrivée. Vous n'imaginez pas le nombre de fois qu'il s'est planté sur des terrains hyper compliqués. Sauf que ça ne l'arrête jamais, il recommence une fois guérie. A croire que la peur n'existe pas chez lui. "Écoute ma jolie, t'es bien gentille, mais oublie tout de suite l’hôpital. Je n'y vais pas d'habitude, alors je vais pas trop me présenter avec une blessure par balle, encore moins après avoir descendu un putain de mafieux. Ces types là sont partout. Si on va là bas, on nous choppera facilement et on retrouvera nos corps au fin fond de l'océan dans des siècles !" La demoiselle avait l'air de chercher où ils pourraient se cacher et ainsi soigner le trafiquant. Il allait lui proposer son loft, un vieux garage désaffecté ou il s'est établi. C'est grand, hyper spacieux et il peut en faire tout ce qu'il veut. Mais elle proposa sa maison dans un quartier de riche. Comment est-ce qu'il pourrait dire non à une telle proposition. C'était même drôle de la voir lui proposer ça. "T'es du genre rapide toi !" plaisante t-il en référence au fait qu'elle voulait le ramener chez elle. "Remets le casque, on y va." Le jeune homme avait déjà grimpé sur sa moto, elle était démarrée, prête à partir. Quand la demoiselle monta à l'arrière, il suivit la route qu'elle indiquait vers ce fameux quartier huppé. De grandes maisons, des voitures de luxe, en somme le territoire des riches. Sev ne peut pas se plaindre, son activité lui rapporte beaucoup d'argent, mais s'établir de manière définitive à un endroit n'est pas possible. Il préfère en général aller ou bon lui semble et son activité lui demande d'être mobile. Alors le vieux garage qu'il ça lui convient. Le marchand de mort arrêta sa moto au bon endroit, sa petite Duke 125 faisait un peu tâche au milieu des voitures luxueuses. Il doute même que les riches du coin possède une grosse moto. Ce genre de personne là, sa préfère acheter une Ferrari plutôt qu'une moto. "Je te laisse me montrer le chemin !" Sevchenko descendit de sa moto et il fit quelques pas hasardeux, un peu à la manière de quelqu'un de saoul. Ce n'était pas un problème d'alcool, jusque que son corps était affaibli par la perte de sang et que l'adrénaline était retombée. D'ailleurs, le blessure commençait à devenir douloureuse.
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