/ ORIGINES : Irlandaise pure souche par mes parents.
Je viens de Durrow, petite bourgade à quelques kilomètres de Kilkenny. Je suis maintenant à Dublin, après avoir laissé ma famille derrière moi, je la considère comme morte.
/ STATUT : Amoureuse et en couple avec Callen / OCCUPATION : Infirmière, travail qui me permet de penser à autre chose et surtout d'éviter l'état de stress post traumatique ... sauf que mes angoisses me rappellent souvent à l'ordre. / LOGEMENT : Une petite maison dans le Georgian Quarter que j'ai acheté il y a peu / CRIMINALITE : J'ai vécu avec un criminel pendant 5 ans, j'aimerais que ce soit loin de moi désormais. / RELATIONS : Moon ϟ Une chatoune récupéré il y a peu lorsque je rentrais de mon travail, sous la pluie.
Callen ϟ Abruti d'ancien patient et ami bancale légèrement dérangé par un sentiment de contrôle des gens. A éviter (même si mon coeur l'appel)
Mark ϟ Agent immobilier fort séduisant
Mederick ϟ Adorable inspecteur, qui m'a aidé quand j'en avais besoin
Sin & Morgan ϟ Petite maman et Petite adorable filles. Elles sont trop mignonnes
Il y a quelques temps, j'étais entrée au commissariat assez chafouine. Et le mot est faible. J'étais venue déposée plainte pour cambriolage. Une enquête était ouverte et on était sur la trace des coupables. Ces débiles ont mit beaucoup d'ADN sur mes affaires pour pouvoir se faire arrêter. Ce qu'ils m'ont volé. Beaucoup de choses matériels, comme une télé et un pc portable. Ils ont effrayé ma chatoune, qui s'est cachée sous une armoire et n'en est sortie que quand je l'ai appelé. Après il y a eu sans doute d'autres choses de volées, mais j'admets que ça, j'm'en fou. C'est juste le fait qu'on soit entré dans mon intimité qui m'angoisse. Disons que ça me remémore beaucoup trop de choses que je suis déjà en train de regarder pour aller ailleurs. C'est en sortant de la librairie du quartier que je tombe alors nez à nez avec ... « Oh ... Inspecteur bonjour » salue je en souriant. L'inspecteur Hustler avait pris ma déposition quand j'étais allée au commissariat, il a été très gentil et m'a beaucoup rassuré. Faut dire que je tremblais partout et que j'étais bien dans tous mes états. J'ai dû dormir dans un hôtel le temps des investigations
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08.09.20 10:15
Le hasard fait bien les choses Plaignante et amante
Sortie de la Garda Station
J'ai absolument besoin de voir les pièces à conviction ! s'emporta Mederick en frappant du plat de la main son bureau. Comment voulez-vous que je fasse un rapport hebdomadaire et la liaison avec l'OCU si même mes supérieures me court-circuitent !
Le secrétaire ne répondit pas, regardant l'officier de police d'un air qui allait de soi. La Garda dublinoise était une machine pseudo-méritocrate, purement technocratique dans les faits. Tout leurs membres le savaient. Seule une poignée d'irréductibles s'acharnaient à essayer de faire tomber la main mise administrative. L'homme attrapa un crayon de papier et commença à le tourner d'un air machinal, ne prêtant aucune attention à Mederick. Le rouge monta au cou du jeune homme qui serra les poings si fort que ses jointures blanchirent.
Très bien, j'irais voir Moore ou Patterson dans ces cas-là ! L'officier Moore n'a aucun pouvoir sur ce dossier et le Surintendant Patterson est à Cork pour la semaine, Inspecteur Hutler. répondit l'autre d'un ton froid.
Mederick poussa un râle de dépit et quitta la petite pièce, poursuivi dans le ricanement moqueur du secrétaire. Le détective fulminait et il sentait déjà que la tension lui vaudrait un violent mal de tête le soir venu. Avec un grognement, il traversa les couloirs blancs du poste de police sans un regard pour les agents. Poli jusqu'à l'inconscience, il ne donna qu'à peine la peine de s'effacer pour laisser passer ses collègues. La mine sombre, il se jeta sur la machine à café du hall d'entrée. Une bonne marche le soulagerait de cette enquête qui patinait, semblait prête à sombrer dans les affaires classées mais non survenues.
La machine bipa, le sortant de ses pensées. Avec un soupir, Mederick voulut prendre sa tasse, trop remplie par cette satanée bête à engrenages et se brûla la main. Poussa un cri de rage et d'exaspération, l'officier de police se vit accorder quelques regards de désapprobation par le sergent chargé de l'accueil. Mederick lui tira la longue et quitta la station de police, l'air aussi sombre que le temps dublinois. Heureusement que sa veste en épaisse tweed le garderait au chaud du crachin. Mederick n'avait fait que quelques pas qu'une voix douce l'interpella. Au bord de la crise de nerfs, l'officier de police se retourna brusquement :
Quoi encore ?!
Son visage s'adoucit aussitôt lorsqu'il reconnut la jeune femme. Hope Landry ! Il se souvenait d'elle comme d'un rayon de soleil dans une semaine quelque peu difficile. Il avait enchaîné les gardes d'accueil et les enquêtes mineures. C'était avec des cernes dignes d'un canyon et quatre heures de sommeil en trois jours qu'il avait recueilli la plainte de la jeune femme. Il l'avait longuement rassuré suite au cambriolage de son appartement.
Oh mademoiselle Landry, je suis désolé si je vous ai fais peur ! J'ai eu une journée un peu rude.
Comme à chaque fois que venait le temps de parler à une femme qu'il lui plaisait, Mederick perdit un peu de sa confiance et de son flegme tout britanniques et se dandina légèrement d'un pied sur l'autre.
J'allais boire un café... Je peux vous en payer un voir prendre quelque chose de plus corsé ? On pourra discuter de votre affaire ou d'autre chose.
LTTP Member
Hope Landry
/ ORIGINES : Irlandaise pure souche par mes parents.
Je viens de Durrow, petite bourgade à quelques kilomètres de Kilkenny. Je suis maintenant à Dublin, après avoir laissé ma famille derrière moi, je la considère comme morte.
/ STATUT : Amoureuse et en couple avec Callen / OCCUPATION : Infirmière, travail qui me permet de penser à autre chose et surtout d'éviter l'état de stress post traumatique ... sauf que mes angoisses me rappellent souvent à l'ordre. / LOGEMENT : Une petite maison dans le Georgian Quarter que j'ai acheté il y a peu / CRIMINALITE : J'ai vécu avec un criminel pendant 5 ans, j'aimerais que ce soit loin de moi désormais. / RELATIONS : Moon ϟ Une chatoune récupéré il y a peu lorsque je rentrais de mon travail, sous la pluie.
Callen ϟ Abruti d'ancien patient et ami bancale légèrement dérangé par un sentiment de contrôle des gens. A éviter (même si mon coeur l'appel)
Mark ϟ Agent immobilier fort séduisant
Mederick ϟ Adorable inspecteur, qui m'a aidé quand j'en avais besoin
Sin & Morgan ϟ Petite maman et Petite adorable filles. Elles sont trop mignonnes
J'ai la tête ailleurs. Bientôt, je serais dans ma maison. Je serais enfin tranquille. Du moins, je l'espère, parce qu'en ce moment Callen commence à me courir sur le haricot à fouiner dans mon passé et à m'envoyer des messages alors que j'lui ai demandé de me fiche la paix. Mais en toute sincérité, je n'ai pas encore trouvé le courage d'effacer son numéro. J'y arriverais sans doute un jour. Et puis c'est en sortant de la bibliothèque que je tombe nez à nez avec Mederick Huslter, l'inspecteur qui m'a aidé il y a quelques jours quand je me suis faite cambrioler, soit presque pile poil en même temps que la maison que je souhaite acquérir. Sa réaction me perturba, je ne m'imaginais pas du tout l'homme avec ce genre de comportement. Je cligne plusieurs fois des yeux et arque mon sourcil, tandis qu'il reprend ses esprits et se rend compte de sa bourde. Oui enfin j'espère bien que t'es choqué mon petit parce que bon, c'est pas tous les jours que j'me fais agresser de la sorte hein « Oh euh ... ya pas de mal vous inquiétez pas » fis je avec un sourire malgré tout compréhensif. S'il était sur un truc agaçant et qu'en plus dans sa bulle, forcément, il n'était pas prompt à me reconnaître pour le coup. Je souris à sa proposition « Je prendrais plutôt un thé dans ce cas » fis je tout en le suivant vers le café qui nous servira un café bien corsé pour lui et un thé plutôt doux pour moi « vous m'avez l'air bien tendu, j'espère que ce n'est rien de grave ? » demande je tout en espérant qu'il ne se mette pas la pression pour mon affaire vu qu'il vient de la citer et que l'on pourrait peut être être amené à en parler
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24.09.20 11:08
Le hasard fait bien les choses Plaignante et amante
Sortie de la Garda Station
Alors qu'ils marchaient côte à côte dans la rue, bercés par le délicat vent qui faisait la signature dublinoise, Mederick observa du coin de l'œil Hope. Il se rappelait vivement de l'émoi de la jeune femme quand elle avait débarqué au poste de police. Certains policiers n'auraient pas eu la patience de s'occuper de son affaire mais le détective s'était senti touché par ce petit bout de femme. Un cambriolage était un viol de l'intimité. Mederick n'était pas assez longtemps dans la police pour avoir perdu tout sensibilité.
L'affaire avait bien évidemment classée sans suite. Les vols et autres effractions n'étaient pas banals dans Dublin. La ville aux mille portes colorées cachaient malgré de nombreuses pistes criminelles. Travellers britanniques ou roumains, simple vol, vengeance d'un petit copain… Tout est rien pouvait être la cause d'un cambriolage. Mederick avait bien essayé de tirer les vers du nez de sa victime mais elle s'était presque aussitôt refermée sur elle même. Comprenant que l'affaire s'étendait bien plus loin que le crime commis sur son appartement, l'officier de police était resté silencieux, un simple bras passé au dessus de ses épaules.
La revoir maintenant, sans un ruisselet de larmes gravé sur les joues ou l'air hagard propre aux traumatismes, touchait étonnamment Mederick. Elle était certes belle mais c'était une fragilité toute féminine et presque secrète qui l'attirait. Cette sensation flattait sa virilité, cet instinct de protection du mâle envers une femme. Alors qu'il buvait une longue gorgée de café, et se détendait enfin depuis des jours, Mederick se dit qu'il ne perdait rien à répondre à la jeune femme.
Je ne m'occupe plus des affaires courantes comme la vôtre mademoiselle Landry. Je suis en fait un inspecteur en charge des affaires criminelles, ou plutôt de la coordination entre le bureau responsable et le commandement de la Garda. Comme toute structure qui se respecte, on a des soucis de confiance et de rivalité entre les services... Les affaires patinent, on nous refuse l'accès à certains dossiers. Un véritable enfer pour le trait d'union que je suis...
Le regard plongé dans son café, les traits durcis par la fatigue et la tension, Mederick tut la haine qu'il éprouvait. Sköll des temps modernes, son Soleil s'évaporait au fil des semaines. La pirate informatique 1LL1573R... Sa main se resserra une seconde autour de sa tasse tandis qu'une profonde envie de frapper un mur l'envahissait. Ses yeux s'adoucirent lorsqu'il les releva vers Hope.
Et vous alors ?
LTTP Member
Hope Landry
/ ORIGINES : Irlandaise pure souche par mes parents.
Je viens de Durrow, petite bourgade à quelques kilomètres de Kilkenny. Je suis maintenant à Dublin, après avoir laissé ma famille derrière moi, je la considère comme morte.
/ STATUT : Amoureuse et en couple avec Callen / OCCUPATION : Infirmière, travail qui me permet de penser à autre chose et surtout d'éviter l'état de stress post traumatique ... sauf que mes angoisses me rappellent souvent à l'ordre. / LOGEMENT : Une petite maison dans le Georgian Quarter que j'ai acheté il y a peu / CRIMINALITE : J'ai vécu avec un criminel pendant 5 ans, j'aimerais que ce soit loin de moi désormais. / RELATIONS : Moon ϟ Une chatoune récupéré il y a peu lorsque je rentrais de mon travail, sous la pluie.
Callen ϟ Abruti d'ancien patient et ami bancale légèrement dérangé par un sentiment de contrôle des gens. A éviter (même si mon coeur l'appel)
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Mederick ϟ Adorable inspecteur, qui m'a aidé quand j'en avais besoin
Sin & Morgan ϟ Petite maman et Petite adorable filles. Elles sont trop mignonnes
Nous marchons, l'un à côté de l'autre vers le café le plus proche. S'il y a quelques jours j'étais complètement retournée, aujourd'hui, je vais nettement mieux. Faut dire qu'être cambiorlée, même si finalement pas grand chose avait disparu, c'était comme si on venait de pénétrer dans mon intimité. Encore une fois. Comme si j'avais pas assez de drames dans ma vie. Comme si j'avais passez de bazar dans ma tête pour essayer de tout contrôler et de tout ranger, afin de mieux me retrouver. La seule chose que je demande, c'est qu'on me laisse dans mon coin, qu'on me laisse guérir, j'ai déjà un thérapeute, je n'ai pas besoin que d'autres personnes s'immiscie encore en plus dans ma vie privée en me parlant de ce que j'ai vécu. Et j'ai comme qui dirait l'impression que tout Dublin est au courant. J'te jure les gens, à croire que leur vie est morose, terne est vide de sens pour s'intéresser à celles des autres. En attendant, j'ai d'autres préoccupations, comme voir avec le banquier, chez qui j'ai transféré mon argent, comment gérer mon capitale afin de m'acquérir d'une maison tantôt. J'ai besoin de me sentir en sécurité, de me sentir chez moi. J'ai déjà commencer à voir pour du matériel de surveillance à distance. Tant que je peux contrôler tout ça en plus de mon travail, le reste m'importe peu. Enfin, sauf le bonheur de mon chat, bien entendu.
Pour le moment, je suis en face de l'inspecteur, je ne sais pas du tout s'il est allé loin dans son enquête. La seule chose que je sais, c'est que quand je suis rentrée, mon appartement était sans dessus dessous et que la porte a été forcée. Il y a eu quelques vols, et encore pas des moindres. Je ne suis pas matérialiste. Qu'on m'ait pris ma télévision ou mon ordinateur portable, je m'en fichais pas mal. Mais ils ont bien fouillé partout pour tenter de mettre la main sur quelques bijoux. Ces bijoux, ne sont pas que de simples babioles, mais des objets sentimentaux qui me rappellent ma mère. Fort heureusement pour moi, ils avaient été bien cachés et ils n'ont pas été découverts. Sur le coup, la peur, la panique m'a pris en plein coeur. L'hystérie m'a alors gagné et quand le calme s'est posé, j'ai pu retrouver mes bijoux et être heureuse de les avoir revu. Quand l'inspecteur m'avait demandé pourquoi j'ai réagi de la sorte, je n'ai pas voulu lui répondre. Et je ne lui répondrais pas. Ce sont mes raisons propres. Et surtout c'est une affaire qui ne le regarde nullement.
Les mains sur ma tasse chaude, j'aime ressentir sa chaleur. J'écoute l'inspecteur avec un sourire bienveillant et respectueux. Il me retourne la question. J'hausse les épaules « Oh le train train quotidien d'une infirmière. Aider les patients et les chirurgiens, s'occuper des urgences, de l'administrations ... on a beaucoup de papiers en ce moment » répondis je simplement. « Et je suis en train de voir pour m'acheter une maison » rien de bien folichon, juste une nouvelle vie dans un autre quartier de la ville et être enfin tranquille. C'est tout ce que je veux. Pouvoir vivre une vie paisible et sans nuage ...
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08.10.20 17:56
Le hasard fait bien les choses Plaignante et amante
Sortie de la Garda Station
Un sourire cynique naquit sur les lèvres de Mederick en écoutant la réponse de Hope. Leurs vies, entre police et hôpital, lui semblaient parfois communes. Les mêmes frustrations, colères et soucis s'ajoutaient aux responsabilité, la fierté de servir mais également une joie simple dans le travail. Cette pensée le rassénéra après la rude journée qu'il venait de passer. Les monde trop étroits, scientifiques ou disciplinaires de la pharmacologie et de l'armée ne lui manquaient que rarement désormais.
Son regard s'adoucit cependant alors qu'elle abordait l'idée de déménager. C'était une bonne chose, tant que cela était réfléchi. De nombreuses victimes de cambriolage essayaient à tout prix de changer de vie, de mettre cela derrière elle. Cela revenait à simplement mettre un pansement sur une plaie béante. Il suffisait d'un moment de faiblesse pour que toutes les angoisses liées au viol de son intimité ne ressurgissent. Les dégâts étaient souvent bien pires qu'avant, pouvant aller jusqu'à l'effondrement mental. Hope étant infirmière, Mederick ne doutait pas qu'elle saurait se protéger d'une telle chose.
Excellente idée. Une maison, ça reste grand ? Vous avez quelqu'un avec qui la partager ? Où comptez-vous vous installer ?
Mû par son instact, l'officier de police posa sa main large sur celle de l'infirmière et la serra doucement. Il savait que sa curiosité était mal placée et que seule une appétence primaire et purement virile le poussait à agir de la sorte. Hope était certes belle mais elle n'avait étonnamment pas ce que Mederick avait recherché chez d'autres femmes : un caractère plus assumé - bien qu'il ne doute pas que celui de la jeune femme se cache derrière un vernis, une grande taille et, ô combien une faiblesse pour l'officier, une poitrine opulente sur un corps mince. Inconsciemment, Mederick qui n'aimait pas les personnes corpulentes ne pouvait s'empêcher de fantasmer sur cet attribut de pure féminité. Mais depuis qu'il avait rencontré Hope, Mederick ne pouvait s'empêcher de penser à elle au delà qu'une simple victime de vol.
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Hope Landry
/ ORIGINES : Irlandaise pure souche par mes parents.
Je viens de Durrow, petite bourgade à quelques kilomètres de Kilkenny. Je suis maintenant à Dublin, après avoir laissé ma famille derrière moi, je la considère comme morte.
/ STATUT : Amoureuse et en couple avec Callen / OCCUPATION : Infirmière, travail qui me permet de penser à autre chose et surtout d'éviter l'état de stress post traumatique ... sauf que mes angoisses me rappellent souvent à l'ordre. / LOGEMENT : Une petite maison dans le Georgian Quarter que j'ai acheté il y a peu / CRIMINALITE : J'ai vécu avec un criminel pendant 5 ans, j'aimerais que ce soit loin de moi désormais. / RELATIONS : Moon ϟ Une chatoune récupéré il y a peu lorsque je rentrais de mon travail, sous la pluie.
Callen ϟ Abruti d'ancien patient et ami bancale légèrement dérangé par un sentiment de contrôle des gens. A éviter (même si mon coeur l'appel)
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Mederick ϟ Adorable inspecteur, qui m'a aidé quand j'en avais besoin
Sin & Morgan ϟ Petite maman et Petite adorable filles. Elles sont trop mignonnes
Désormais installés l'un en face de l'autre, nous laissons alors nos propres métiers de côté. Enfin, surtout moi, lui je sais pas. Quand je suis dehors, je préfère penser à tout sauf au travail et à ce que je vis tous les jours. Je préfère clairement séparée le côté pro et privé pour pouvoir garder un mental équilibré. Il est assez perturbé comme ça, je préfère donc le laisser tranquille. Well, nous parlons de tout, de rien, de ma vie. E tpuis j'évoque mes porjets d'acheter une maison assez vaguement, inutile d'aller trop dans les détails. Enfin, les détails, l'inspecteur souhaitent les connaître et je dois avouer que ces questions me rendent mal à l'aise, j'ai l'impression d'être un chaton coincé dans un coin d'une pièce. Surtout ... SURTOUT quand il pose sa main sur la mienne. Main que j'enlève immédiatement, ne supportant pas ce genre de contact soudain « Désolée ... je ne suis pas à l'aise quand on prend ma main comme ça » fis je avec un léger sourire en coin gêné. Je n'aime surtout pas qu'on soit tactile comme ça avec moi, surtout quand je ne connais pas la personne. Faut dire qu'avec tout ce que j'ai traversé j'ai juste besoin d'être seule et qu'on me laisse tranquille. J'aimerais éviter ces questions, alors je tente une réponse vague. J'aime pas devoir me justifier « Et bien oui, une maison c'est grand, mais suffisant pour une nouvelle vie » fis je simplement sans aller au-delà. Je prends alors ma tasse de thé et bois une gorgée pour éviter de dire autre chose. « Et vous, votre travail n'est pas trop compliqué ? » demande je. Parler de tout sauf de moi. C'est ce que je préfère. Ma main droite reste sur cette tasse de thé, tandis que l'autre est repliée contre mon corps. Même si j'ai l'air coincée et distante, j'espère juste qu'il ne va pas mal le prendre. Et auquel cas, j'ai envie de dire, tant pis. J'aspire à une vie paisible
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17.10.20 17:24
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Sortie de la Garda Station
Mederick se braqua lorsque la jeune femme retira sa main d'un geste vif. Son regard se fit plus sombre et ses mâchoires se serrèrent. Blessé dans sa fierté de mâle, il retint sa langue d'une maladresse bien sentie et resta silencieux. Reculant légèrement sur sa chaise, il croisa les bras sur sa poitrine. Le geste de Hope lui rappelait les quelques semaines difficiles qu'il venait de passer et la moindre frustration devenaient démesurées dans l'esprit de Mederick.
L'expression à la fois candide et gênée de la jeune femme adoucit cependant le policier qui poussa un léger soupir. Résigné, il changea à nouveau de position avant de boire une longue gorgée de café. Mederick avait vu assez de suspects passés à l'interrogatoire pour voir lorsque quelqu'un ne voulait pas entrer dans les détails. Tapotant du doigt sur la table, il regarda fixement Hope, hésitant lui répondre durement. Finalement, l'agacement prit le dessus sur sa politesse.
Je suis détectie pour l'OCU, la brigade contre la grande criminalité, en particulier les organisations. Ce n'est pas un métier tendre, on a peu d'heures pour soi, le danger est constant et on se bat plus avec son administration qu'avec les mafieux.
Poussant un gémissement de fatigue et de dépit, Mederick se massa de part et d'autre l'arête de son nez avant de reprendre :
Ecoutez, Hope. Vous êtes adorable et je me suis peut être mépris sur l'intention que vous aviez derrière ce café. Je m'en excuse. Votre passé ne regarde que vous mais lorsqu'il interfère à ce point dans vos relations sociales, je dois intervenir. Je me bats contre une cybercriminelle dont je ne connais pas l'identité et pourtant que j'ai l'impression de mieux la cerner que vous. Alors s'il vous plaît, jouez franc-jeu avec moi et nous serons quitte. D'accord ?
LTTP Member
Hope Landry
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/ STATUT : Amoureuse et en couple avec Callen / OCCUPATION : Infirmière, travail qui me permet de penser à autre chose et surtout d'éviter l'état de stress post traumatique ... sauf que mes angoisses me rappellent souvent à l'ordre. / LOGEMENT : Une petite maison dans le Georgian Quarter que j'ai acheté il y a peu / CRIMINALITE : J'ai vécu avec un criminel pendant 5 ans, j'aimerais que ce soit loin de moi désormais. / RELATIONS : Moon ϟ Une chatoune récupéré il y a peu lorsque je rentrais de mon travail, sous la pluie.
Callen ϟ Abruti d'ancien patient et ami bancale légèrement dérangé par un sentiment de contrôle des gens. A éviter (même si mon coeur l'appel)
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Je ne voulais pas paraître malpolie en enlevant ma main tout en expliquant pourquoi je n'aimais pas ça. Et puis, je ne suis pas tactile d'ordinaire. Enfin, depuis mon "accident". Cependant, son comportement, ne me plait pas du tout. Attends mec t'as cru quoi ? Que j'allais être une petite princesse qui attend son prince charmant ? Flic ou pas flic, t'es un homme, t'es logé à la même enseigne. Surtout que le dernier flic en date a fouiné dans mes affaires du coup, je me méfie de toutes les personnes portant l'uniforme. Ou plutôt des personnes pouvant subtilement se taper l'incruste dans ma vie personnelle. Je l'écoute donc me parler de son taffe. C'est moi ou on dirait un coq ? Sa fierté et son arrogance commence doucement à me gonfler. Malgré tout, je garde mes mains près de ma tasse, je garde le dos droit et un regard neutre. J'attends quels genres de commentaires il va bien me servir ... mais il ne m'en a fallu pas beaucoup de temps à attendre. J'écoute ses derniers commentaires. Mon Dieu ... j'arque mon sourcil, mais qu'est ce qu'il raconte comme connerie ? « Alors ... je ne vois pas en quoi la cybercriminalité a à voir avec mes relations sociales » fis je tout d'abord « Ensuite, je ne suis pas quelqu'un qui adore qu'on la touche. Surtout que nous ne nous connaissons pas, vous et moi. Oui, je suis venue complètement paniquée et dans tous mes états au commissariat après le cambriolage. Cependant, mes réactions ne me regardent que moi. Vous avez votre travail, maintenant tout ce qui interfère mes relations sociales et ma propre vie ne me regarde que moi » fis je tout simplement. Il veut que je sois franche ? Il n'a pas besoin de le demander puisque je suis une personne extrêmement franche et si ça lui plait ou pas je n'en ai strictement rien à carrer « Enfin, je ne comprends pas où vous avez pu vous méprendre, puisque ce n'était qu'une simple invitation de courtoisie » il a cru quoi que j'étais tombée amoureuse et que nous allons vivre une vie sublime de flic à infirmière ?
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20.10.20 17:16
Le hasard fait bien les choses Plaignante et amante
Sortie de la Garda Station
Le rouge monta aux joues de Mederick alors qu'il fixait d'un regard courroucé et hautain Hope. Il suffit d'un simple coup d'oeil pour voir que la petite infirmière avait un lourd passé derrière. Ces réactions étaient craintives et elles semblait trop émotive, même pour son métier. Mederick n'avait rien d'un humaniste mais il avait simplement voulu se montrer compatissant et conciliant en abordant le sujet. Claquant sa main droite sur la table, il roula des épaules. Avec un long soupir de dépit, il secoua, un sourire purement arrogant sur ses lèvres.
Je n'ai même pas eu à chercher dans votre dossier pour voir à quel point vous craignez les hommes ou la violence, Hope. A vrai dire, j'ai respecté votre intimité alors que dans le cadre de l'enquête j'aurai pu me servir. Je ne sais pas ce qui s'est passé mais vous avez un souci.
Avalant son café brûlant d'une traite, Mederick se leva et regarda longuement Hope. S'il était peiné, autant par sa maladresse que les propos de l'infirmière, il n'en montra rien. Fouillant dans ses poches, il sortit un billet de cinq euros qu'il claqua de nouveau sur la table avant de poser sa tasse dessus. Ramassant ses affaires et enfilant sa veste, il se tourna une dernière fois vers Hope :
L'invitation était une attention que j'apprécie. Mais je préfère que vous restiez un simple nom anonyme sur un bout de papier. Gardez la monnaie et bonne journée.
Sur ces mots, il tourna sèchement les talons et s'éloigna, raide comme la justice qu'il incarnait.
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Hope Landry
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Callen ϟ Abruti d'ancien patient et ami bancale légèrement dérangé par un sentiment de contrôle des gens. A éviter (même si mon coeur l'appel)
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J'arque mon sourcil et croise mes bras tandis que mon expression devient neutre « En même temps, il n'y avait aucune raison d'aller plus loin. De plus, mes crantes ne me regardent que moi et personne d'autre » fis je en essayant de ne pas être trop cassante. Pourtant j'ai bien envie de lui jeter mon thé dans la figure. Ou une chaise. Ce comportement de gamin m'énerve, surtout que je ne comprends pas pourquoi il s'énerve tout seul le pauvre petit. Mon sourcil s'arque encore plus lorsqu'il lève et jette un billet de 5 comme si j'étais une vulgaire personne, comme si j'avais été irrespectueuse. Mais c'est quoi ce type ? Il s eprend pour qui sérieusement ? Doucement, je me lève « Il va falloir réviser la notion de consentement mutuel. Si je ne souhaite pas que vous me touchiez, vous ne me touchez pas. Je ne comprends pas pourquoi vous le prenez mal. Je ne suis pas une personne tactile, et ça n'a rien à voir avec mes craintes. Je suis comme ça et je l'ai toujours été » fis je agacée tout en remettant ma veste. Est-ce un mensonge ? Non pas vraimen « D'autant que nous ne nous connaissons pas. Je veux dire, je ne suis qu'une victime d'un cambriolage et vous êtes inspecteur » fis je en haussant les épaules. Dpeuis la mort de maman et mes confrontations avec mon père et mes frères, j'ai toujours eu du mal avec les hommes, rare sont ceux à qui j'ai accordé ma confiance. Bref, ce type, on dirait vraiment un enfant capricieux ... j'hallucine. Il a pas l'habitude des femmes ou quoi ?« Si vous voulez que je ne sois qu'un nom anonyme d'un dossier, c'est vous que ça regarde. L'invitation n'était que pour vous remercier d'avoir été là pour moi. Si vous vous êtes mis martel en tête, ce n'est pas mon problème » là, je décide donc de laisser le billet sur la table. Le reste de l'argent sera pour le pourboir de la serveuse et je sors, sans demander mon reste, du café
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Je viens de Durrow, petite bourgade à quelques kilomètres de Kilkenny. Je suis maintenant à Dublin, après avoir laissé ma famille derrière moi, je la considère comme morte.
/ STATUT : Amoureuse et en couple avec Callen / OCCUPATION : Infirmière, travail qui me permet de penser à autre chose et surtout d'éviter l'état de stress post traumatique ... sauf que mes angoisses me rappellent souvent à l'ordre. / LOGEMENT : Une petite maison dans le Georgian Quarter que j'ai acheté il y a peu / CRIMINALITE : J'ai vécu avec un criminel pendant 5 ans, j'aimerais que ce soit loin de moi désormais. / RELATIONS : Moon ϟ Une chatoune récupéré il y a peu lorsque je rentrais de mon travail, sous la pluie.
Callen ϟ Abruti d'ancien patient et ami bancale légèrement dérangé par un sentiment de contrôle des gens. A éviter (même si mon coeur l'appel)
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Mederick ϟ Adorable inspecteur, qui m'a aidé quand j'en avais besoin
Sin & Morgan ϟ Petite maman et Petite adorable filles. Elles sont trop mignonnes
J'arque mon sourcil et croise mes bras tandis que mon expression devient neutre « Je ne comprends pas le rapport ... mais soit » fis je interloquée de sa réaction. Pourtant j'ai bien envie de lui jeter mon thé dans la figure. Ou une chaise. Ce comportement de gamin m'énerve, surtout que je ne comprends pas pourquoi il s'énerve tout seul le pauvre petit. Mon sourcil s'arque encore plus lorsqu'il lève et jette un billet de 5 comme si j'étais une vulgaire personne, comme si j'avais été irrespectueuse. Mais c'est quoi ce type ? Il s eprend pour qui sérieusement ? Doucement, je me lève « Il va falloir réviser la notion de consentement mutuel. Si je ne souhaite pas que vous me touchiez, vous ne me touchez pas. Je ne comprends pas pourquoi vous le prenez mal. Je ne suis pas une personne tactile, et ça n'a rien à voir avec mes craintes. Je suis comme ça et je l'ai toujours été » fis je agacée tout en remettant ma veste. Est-ce un mensonge ? Non pas vraimen « D'autant que nous ne nous connaissons pas. Je veux dire, je ne suis qu'une victime d'un cambriolage et vous êtes inspecteur » fis je en haussant les épaules. Dpeuis la mort de maman et mes confrontations avec mon père et mes frères, j'ai toujours eu du mal avec les hommes, rare sont ceux à qui j'ai accordé ma confiance. Bref, ce type, on dirait vraiment un enfant capricieux ... j'hallucine. Il a pas l'habitude des femmes ou quoi ?« Si vous voulez que je ne sois qu'un nom anonyme d'un dossier, c'est vous que ça regarde. L'invitation n'était que pour vous remercier d'avoir été là pour moi. Si vous vous êtes mis martel en tête, ce n'est pas mon problème » là, je décide donc de laisser le billet sur la table. Le reste de l'argent sera pour le pourboir de la serveuse et je sors, sans demander mon reste, du café
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