-14%
Le deal à ne pas rater :
Apple MacBook Air (2020) 13,3″ Puce Apple M1 – RAM 8Go/SSD 256Go
799 € 930 €
Voir le deal

Partagez
FB / i can't say i need you +  LEE EmptyFB / i can't say i need you +  LEE EmptyFB / i can't say i need you +  LEE EmptyFB / i can't say i need you +  LEE EmptyFB / i can't say i need you +  LEE EmptyFB / i can't say i need you +  LEE EmptyFB / i can't say i need you +  LEE EmptyFB / i can't say i need you +  LEE EmptyFB / i can't say i need you +  LEE EmptyFB / i can't say i need you +  LEE EmptyFB / i can't say i need you +  LEE Empty

FB / i can't say i need you + LEE

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
ADMIN / a fucking mess
Gabriel Collinsworth
Gabriel Collinsworth
/ ORIGINES : Né en Irlande, "born and bred" mais son père a été adopté par des américains, abandonné aux pieds d'une caserne de pompier ici à Dublin.
FB / i can't say i need you +  LEE OnzWelK

/ STATUT : Père d'une petite puce de quelques années (6) qui a son franc parlé et dont la mère a décidé un jour qu'elle pouvait pas être mère, ni épouse. Sa rivale ? La bouteille, ils sont amis désormais, très proche.
Pire depuis qu'on lui a retiré la garde.
Peut être attiré par la psychopathe qui l'a sauvé.

/ OCCUPATION : A part boire ? C'est un imbécile de première sauf avec sa gamine, Sally. Quand il ne boit pas, il bosse dans un garage bardé de bikers tout autour. Il fait des jobs de"homme à tout faire aussi.
/ LOGEMENT : ►Appartement à TEMPLE BAR dans le même immeuble que des nanas bien chiantes ! Qu'il adore.
/ CRIMINALITE : Il était aussi propre qu'un sou neuf, puis il a décidé que c'était pas être raisonnable de vivre ici, alors il a essayé ptit con, et ça lui réussit plutôt bien. Les seuls qu'il frappe sont des gens qu'il juge dérangeant, ou s'il est de mauvaise humeur. Ou pas frais.
/ RELATIONS : BILLIE ► Sa petite soeur non biologique. Il est sorti avec l'une de ses soeurs et est resté dans es parages. Ils se supportent mutuellement.
O'MARA&co ► les petites soeurs qu'il a adopté
AILLA ► La chieuse qui est aussi une amie de BILLIE. Quand elle veut, elle ne lui tape pas sur nerfs.
MARA ► La cinglée qui lui a sauvé la vie.


/ VOS RPS : OMARAROMYMARA#2

TERMINE
BILLIE&coMARA#1

/ PSEUDO : Junkiie
/ CELEBRITE : jason staham
/ COMPTES : AlekseiFelicia
/ CRÉDITS : shellhead.
/ MESSAGES : 818
/ PIEGE DEPUIS : 12/04/2014
https://lttp.forumactif.org/t5291-gabriel-don-t-shoot-i-m-dead-already https://lttp.forumactif.org/t5316-gabriel-aleksei-felicia-alexan
17.05.20 22:06

Quand tu te retrouves sur le béton d’un trottoir, dans une rue moche, tu sais que t’as touché le fond. quand en plus, tu te trouves complètement défoncé, c’est un signe que tu es pas loin du fond. Et puis ya moi, et j'appellerais ça un mardi, ou un lundi, enfin, un jour dans la semaine quoi. J’aurais pu crier à l’aide mais soyons francs, vu qui était sur moi à jouer de ses poings, personne n’aurait tenté. Quand certains motards te prenaient en grippe, c’était plutôt foutu pour se faire aider de toute façon. La raison pour laquelle j’étais dans cet état ? Arcade éclatée, oeil presque fermé, la main bien abimée, le poignet et surement des bleu partout et surtout au niveau du flanc ? Parce que j’avais encore ouvert ma gueule de con, j’avais pas pu me retenir, et j’avais sorti le soldat, celui à qui on avait rien demandé et qu’on avait classé déficient, traumatisé, foutu. Ah oui l’armée était super quand on était en service, et puis après, on devenait un déchet de plus recraché par les conflits ici et là. Le soldat, il était bourré tout le temps et il avait dû abandonner son plus précieux trésor. J’avais dû regarder des inconnus partir avec Sally, chez des gens inconnus aussi. Ah pour jouer, on était là, mais qui avait été là quand tout s’était effondré y compris la cellule familiale qui avait fait joli sur les photos. Hannah avait prit la fuite devant tant de responsabilités, j'aurais dû le savoir, elle n’avait jamais été fidèle et ne savait pas faire grand chose chez nous. A croire que j’étais maso, parce que j’avais récupéré une autre pas douée, celle ci s’était surement jurée qu’un suicide en Irlande avait la classe et s’était mise à l’ouvrage. Et moi pauvre débile je m’étais dit que peut être jpouvais l’empêcher de crever, et elle devait se dire qu’elle m’empêcherait d’achever cette vie pathétique. J’avais réussi à prendre un taxi, arriver à l’hôpital et découvrir que j’étais dans un état lamentable. Poignet et main, pétés, une côte, un hématome qui prenait mon flanc et une gueule à faire un parfait zombie pour halloween. Parce que j’étais nul j’avais réussi à me tordre la cheville en chemin aussi, pour couronner le tout, on est doué ou on l’est pas. D'ailleurs je m’attendais pas à ressortir, boitant un peu, la tronche gonflée et tombée sur ma colocataire. C’était pas la première fois mais depuis qu’elle était dans le coin, j’avais nettement cessé de faire tout et n’importe quoi. Enfin, du moins, pas à ce point.

Jpeux savoir pourquoi t’es là ?

Parce que je l’avais pas prévenue, j’avais rien dit et je voyais pas qui avait pu la prévenir.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité
22.05.20 1:40

Tu te languis. Impatiente de rentrer chez toi, de prendre une douche bien chaude pour détendre tes muscles et enlever ton putain de soutien-gorge. Ce n’était pas du tout un stéréotype, les femmes aiment enlever cette partie de leur sous-vêtement et tu n’y faisais pas du tout exception. Tu as passé la journée au journal, chose que tu détestes par-dessus tout. Bien sûr, tu aimes ton boulot, plus que n’importe quoi d’autre en ce monde, mais ce que tu préfères avant tout, c’est d’être sur le terrain, à fouiner un peu partout pour trouver le sujet de ton prochain article. Mais ton boulot a aussi son lot d’inconvénients et la paperasse en faisait partie. Tu ne pouvais pas toujours te mettre des histoires incroyables sous la dent et il fallait aussi que tu te tapes des articles classique. Trop classique à ton goût. Maintenant que l’heure est arrivée, tu n’attends pas une seconde de plus avant de prendre tes affaires et dévaler les escaliers. Tu profites de la brise légère et attrapes ton portable des mains lorsque tu te rends compte que tu as un appel. Edan. Tu n’attends pas du tout de nouvelles de sa part, mais n’hésites pas non plus à décrocher. Médecin au SJ Hospital, tu sais qu’il n’appelle jamais sans raison valable. Et tu ne le regrettes pas lorsque tu apprends que ton colocataire est passé entre ses mains. Edan est clairement une de tes sources préférées. Folle de rage, tu presses le pas pour héler un taxi et lui demander de te conduire jusqu’à l’établissement médical. Il ne faut qu’une dizaine de minutes pour que tu sortes du véhicule et te rends devant l’entrée du bâtiment. Tu n’as pas non plus de difficultés à reconnaître Gabriel, malgré son sale état. Ca t’énerve d’autant plus lorsqu’il te demande ce que tu fais là, alors que clairement la question devait lui être retournée.

« Tu te fous de ma gueule ? ». T’as l’impression que c’est une vaste blague et t’en as marre, comme s’il ne prenait jamais rien au sérieux. Ça te brise le cœur de le voir se détruire quotidiennement et tu t’es là, impuissante face à sa détente aux enfers. « J’suis journaliste, je te rappelle, je ne dévoile jamais mes sources ». Ce n’était sûrement pas le moment idéal pour être sarcastique alors que tu t’inquiétais réellement pour lui, encore plus après avoir constaté son état. Il était bien cassé. Tu ne comprenais pas comment il pouvait se mettre dans des histoires pas possibles. « Tu m’expliques ce qu’il t’est arrivé ou je dois te bassiner ? ». Sauf que là, tu ne rigolais plus. Tu voulais sincèrement essayer de comprendre ce qu’il se passait dans sa tête, pourquoi il agissait de la sorte, mais le connaissant, il n’allait clairement pas te laisser faire. Mais une chose était sûre, tu avais également ton caractère et tu ne comptais pas du tout abandonner.
Revenir en haut Aller en bas
ADMIN / a fucking mess
Gabriel Collinsworth
Gabriel Collinsworth
/ ORIGINES : Né en Irlande, "born and bred" mais son père a été adopté par des américains, abandonné aux pieds d'une caserne de pompier ici à Dublin.
FB / i can't say i need you +  LEE OnzWelK

/ STATUT : Père d'une petite puce de quelques années (6) qui a son franc parlé et dont la mère a décidé un jour qu'elle pouvait pas être mère, ni épouse. Sa rivale ? La bouteille, ils sont amis désormais, très proche.
Pire depuis qu'on lui a retiré la garde.
Peut être attiré par la psychopathe qui l'a sauvé.

/ OCCUPATION : A part boire ? C'est un imbécile de première sauf avec sa gamine, Sally. Quand il ne boit pas, il bosse dans un garage bardé de bikers tout autour. Il fait des jobs de"homme à tout faire aussi.
/ LOGEMENT : ►Appartement à TEMPLE BAR dans le même immeuble que des nanas bien chiantes ! Qu'il adore.
/ CRIMINALITE : Il était aussi propre qu'un sou neuf, puis il a décidé que c'était pas être raisonnable de vivre ici, alors il a essayé ptit con, et ça lui réussit plutôt bien. Les seuls qu'il frappe sont des gens qu'il juge dérangeant, ou s'il est de mauvaise humeur. Ou pas frais.
/ RELATIONS : BILLIE ► Sa petite soeur non biologique. Il est sorti avec l'une de ses soeurs et est resté dans es parages. Ils se supportent mutuellement.
O'MARA&co ► les petites soeurs qu'il a adopté
AILLA ► La chieuse qui est aussi une amie de BILLIE. Quand elle veut, elle ne lui tape pas sur nerfs.
MARA ► La cinglée qui lui a sauvé la vie.


/ VOS RPS : OMARAROMYMARA#2

TERMINE
BILLIE&coMARA#1

/ PSEUDO : Junkiie
/ CELEBRITE : jason staham
/ COMPTES : AlekseiFelicia
/ CRÉDITS : shellhead.
/ MESSAGES : 818
/ PIEGE DEPUIS : 12/04/2014
https://lttp.forumactif.org/t5291-gabriel-don-t-shoot-i-m-dead-already https://lttp.forumactif.org/t5316-gabriel-aleksei-felicia-alexan
22.05.20 2:17

Elle te fait rire la donzelle, parce qu’elle râle, elle agresse, mais tu sais ce qu’il y a en dessous. Peut être pour ça que t’es pas mieux, que tu grognes, parce que t’es pas fier de te présenter à elle comme ça. Parce que tu sais très bien que tu aurais pas dû te mêler du truc, mais tu sais très bien que t’es pas capable de rester à rien faire. Et ça te dégoûte que la norme ici c’est de rien faire. Tu lèves les yeux au ciel quand elle te parle de sa “source” et tu grognes parce que ça fait mal à ta sale gueule toute enflée. Elle attaque de suite, vous avez à peine fait deux pas, elle veut tout savoir.

J’allais prendre un taxi, tu as ta caisse ? J’en parle pas ici.

Rien à voir avec les gens autour qu’il pourrait y avoir, non, t’as pas envie de parler planté là, puis t’as mal en plus. Tu veux trouver un canapé, un fauteuil un lit, un truc mou et être chez toi. Chez vous. Tu la suis, tu la rejoins à sa caisse. Qui est en fait un taxi. Génial. Tant pis vous allez être un peu plus pauvre. Enfin pauvre tu l’es pas, t’es pas riche par contre. C’est juste que ça coûte cher le whisky.

T’aurais pu prendre une caisse sérieux. Ou t’avais l’intention de râler et de te barrer ensuite ?

Tu la laisses à peine répondre que tu te fous dans la voiture en jurant parce que te plier ca fait pas du bien du tout, tu gardes ton bras contre ton ventre. clairement, t’es pas ravi de t’en être pris plein la tronche. Tu cèdes aussi sec dans la voiture.

J’ai vu une femme en galère avec des types, c’était pas un souci, mais j’avais pas l’esprit assez clair, ils ont pas aimé que je me mêle de leurs affaires. C’est parti en vrille, j’ai pété le nez de l’un d’eux j’crois. J’ai vu pire.

En réalité, t’as vu pire comme contexte, mais tu n’as pas fini si souvent défoncé. Tu sais même plus, les dernières années ont été chaotiques. Et quand tu souffles enfin, voilà que tu perds tout. Sally passe son temps à répéter que tu lui manques et ton coeur tout mou se brise chaque fois. Tu mets ta tête en arrière de la banquette, tu penches la tête vers elle, ose ta main sur sa cuisse, vous êtes devenus plus tactiles depuis qu’elle est chez toi. Rien d'indécent cela dit.

Avant que tu demandes à ta source, poignet, main, bleus dont un moche sur le côté, et ma tronche. Rien de très grave. Jvais juste pas bosser quelques temps, enfin, jverrais si jpeux faire d’une main.

Ouais tu envisages de foutre les mains dans le cambouis même défoncé. Si tu t'arrêtes c’est là que tout part en vrille, faut que tu sois toujours occupé, c’est pas pour le fric que tu as plusieurs jobs. Mais parce que ça ‘empêche de penser.

Désolé.

T’es pas si froid avec elle, mais t’étais pas bien, c’est pas sa faute si elle est toujours là quand ça, ça pas ces derniers temps et que t’as l'impression que c’est pas bien, que tu l’inquiètes.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité
22.05.20 2:53

T’es désemparée au fond, parce que tu veux l’aider plus que n’importe qui sur cette Terre. T’as malheureusement été témoin de sa chute libre dans les ténèbres, jusqu’à ce que la bouteille devienne son meilleur allié. Pourtant, tu sais qu’il vaut mieux que ça, que c’est un homme bien. Tu veux qu’il ait à nouveau espoir, mais c’est difficile, encore plus depuis qu’on lui a arraché Sally. Ce petit être humain que tu aimes aussi énormément et dont le manque pince ton cœur encore aujourd’hui. Alors tu n’imagines même pas ce que Gabriel doit ressentir alors que c’est sa cher et son sang.

Tu t’exécutes lorsque le jeune homme te demande si tu es venue avec ton véhicule en reprenant la place à laquelle tu te trouvais quelques minutes auparavant, levant ton bras pour appeler le taxi dont tu venais de sortir. Vous aviez de la chance, il n’était pas encore parti. T’as bien compris que Gabriel ne veut pas s’attarder sur le sujet sur place, c’est pourquoi tu n’insistes pas plus. Tu préfères le laisser s’ouvrir à toi lorsqu’il se sentira prêt. « Si je râle de te voir dans cet état, c’est peut-être parce que je m’inquiète non ? » Ça t’arrache un peu de lui avouer ça, parce que ce n’est pas dans tes habitudes de la jouer sentimentale. Ce n’est pas non plus dans tes habitudes de te faire du souci pour une personne autre que toi-même, mais tu en es là aujourd’hui. Au vu de la situation, ce n’est clairement pas le moment de se poser ce genre de questions.

Tu prends le temps d’écouter chaque mot qui sort de la bouche du jeune homme et fronces les sourcils à mesure qu’il raconte sa petite mésaventure. Tu ne peux lui en vouloir après avoir entendu toute l’histoire. Encore une preuve que Gabriel était un bon type, il n’a pas fermé les yeux alors qu’une personne était clairement en danger. Mais le retour des choses lui a clairement fait mal. Si bien que tu grimaces à chaque mouvement que le jeune homme fait, comme si tu pouvais ressentir sa douleur. « Est-ce qu’ils t’ont donné tout ce qu’il te fallait ? Je peux passer à la pharmacie si besoin… » Tu ne sais pas quoi lui proposer de plus tellement, tu te sens toujours aussi impuissante. Ça t’as fait mal de l’entendre lister ses blessures et encore plus qu’il était sous l’effet de l’alcool au moment des faits. Même si cette pauvre femme n’avait rien à se reprocher dans cette histoire, tu l’as maudit intérieurement d’avoir été au mauvais endroit, au mauvais moment. T’es un peu plus rassurée lorsqu’il porte sa main sur ta cuisse, un bon moyen de te dire « tout va bien » sans prononcer de mots. Ça n’enlève pas la totalité de tes peurs et doutes, mais assez pour que tu te détendes un peu plus. Tu t’empresses de déposer ta propre main sur la sienne en lui souriant tendrement, parce que tu sais qu’il est désolé, qu’il ne veut pas que tu le voies sous cet angle. « Rentrons à la maison » que tu venais de lui dire, comme lui expliquer qu’il n’avait pas à s’excuser auprès de toi parce que peu importe la situation, tu seras toujours là pour lui.

Les paroles se mêlant à la réalité, le taxi arriva enfin au bas de votre immeuble et tu descends du véhicule la première en proposant ton aide au jeune homme et faciliter ses mouvements. Tu te diriges ensuite vers l’entrée de l’immeuble avant de t’y introduire et d’appuyer sur le bouton de l’ascenseur. Tu poses ton regard sur Gabriel, entre tristesse et colère. « Tu ne peux pas continuer comme ça Gabriel, c’est pas une vie ». Voilà, c’est dit, aussi difficile que ça a pu l’être, tu lui as balancé ton ressenti depuis plusieurs semaines. Tu t’attends à une réponse sanglante, mais peu importe, il faut crever l’abcès à présent.
Revenir en haut Aller en bas
ADMIN / a fucking mess
Gabriel Collinsworth
Gabriel Collinsworth
/ ORIGINES : Né en Irlande, "born and bred" mais son père a été adopté par des américains, abandonné aux pieds d'une caserne de pompier ici à Dublin.
FB / i can't say i need you +  LEE OnzWelK

/ STATUT : Père d'une petite puce de quelques années (6) qui a son franc parlé et dont la mère a décidé un jour qu'elle pouvait pas être mère, ni épouse. Sa rivale ? La bouteille, ils sont amis désormais, très proche.
Pire depuis qu'on lui a retiré la garde.
Peut être attiré par la psychopathe qui l'a sauvé.

/ OCCUPATION : A part boire ? C'est un imbécile de première sauf avec sa gamine, Sally. Quand il ne boit pas, il bosse dans un garage bardé de bikers tout autour. Il fait des jobs de"homme à tout faire aussi.
/ LOGEMENT : ►Appartement à TEMPLE BAR dans le même immeuble que des nanas bien chiantes ! Qu'il adore.
/ CRIMINALITE : Il était aussi propre qu'un sou neuf, puis il a décidé que c'était pas être raisonnable de vivre ici, alors il a essayé ptit con, et ça lui réussit plutôt bien. Les seuls qu'il frappe sont des gens qu'il juge dérangeant, ou s'il est de mauvaise humeur. Ou pas frais.
/ RELATIONS : BILLIE ► Sa petite soeur non biologique. Il est sorti avec l'une de ses soeurs et est resté dans es parages. Ils se supportent mutuellement.
O'MARA&co ► les petites soeurs qu'il a adopté
AILLA ► La chieuse qui est aussi une amie de BILLIE. Quand elle veut, elle ne lui tape pas sur nerfs.
MARA ► La cinglée qui lui a sauvé la vie.


/ VOS RPS : OMARAROMYMARA#2

TERMINE
BILLIE&coMARA#1

/ PSEUDO : Junkiie
/ CELEBRITE : jason staham
/ COMPTES : AlekseiFelicia
/ CRÉDITS : shellhead.
/ MESSAGES : 818
/ PIEGE DEPUIS : 12/04/2014
https://lttp.forumactif.org/t5291-gabriel-don-t-shoot-i-m-dead-already https://lttp.forumactif.org/t5316-gabriel-aleksei-felicia-alexan
22.05.20 13:06

Elle s’inquiète et toutes tes barrières s’effondrent les unes après les autres. Tu as du mal à réunir les deux neurones qui disjonctent en l’entendant dire ça. Des regards, des sourires, vous n’étiez jamais allé très loin tous les deux. Pourtant, à la minute où elle a commencé à distribuer des culottes dans sa chambre, que tu en as trouvé dans le linge sale, tu as viré. Tu as remarqué qu’elle était plutôt pas mal, et vous avez pris des habitudes de coloc bien trop étranges à ton goût. Mais dans vos mots, ça n’a jamais été aussi claire que ceux là. Tu lui dis souvent qu’elle risque de crever, elle te dit que tu abuses, mais pas comme ça, pas aussi..direct. Sauf que ton cerveau ne peut pas connecter, digérer ces informations là. T’es encore dans le brouillard et tu fuis toujours le souvenir d’hannah dans des draps un peu partout. On peut être amis, seulement amis ? Tout en ayant envie de t’envoyer en l’air ? Compliqué. trop juste après avoir prit des coups.

J’avais bien compris. Fais gaffe, tu vas finir marshmallow après et je devrais te griller autour d’un feu.

Ouais, ça ressemblait à un truc sexuelle ta phrase, tu aurais surement du te taire, c’est pas les médicaments, tu les as pas pris. Surement parce que tu es un idiot qui n’aime pas prendre des trucs qui te donnent l’impression d'être ailleurs. la douleur ça te réveille ça te met au pied du mur, alors tu la laisses être là. Elle demande justement si ils t’ont filé du matos, tu dis non de la tête, ça t’arrache un autre gémissement. Tu avais pas encore testé le mode pinata, tu aimes pas des masses. T’as déjà fini en sang, mais pas récemment, enfin, tu sais plus, tu bois trop pour être sur. Elle pose sa main sur la tienne, tu te forces à pas regarder. Mais tu sens sa chaleur, tu sens ses doigts, et la sensation te gêne, tu sais pas pourquoi. Peut être que tu veux pas réaliser, que peut être, tu y tiens, et qu’elle est là quand tout éclate autour de toi. Arrivé sur place elle propose son aide, et tu acceptes, t’es pas fier à ce point là, tu as mal, donc tu te laisses entraîner, redoutant d’apprécier la chaleur qui t’envahit, elle, contre toi.

Dans l’ascenseur, elle sort les violons et tout l’orchestre. Elle te dit ce qu’elle ne fait que chuchoter depuis des mois. Ton regard se pose sur elle, ton dos contre la paroi de la cabine. Tu ne dis rien, la porte s’ouvre et votre porte apparait, tu t'arrêtes avant de franchir la porte de l’ascenseur.

C’est mon problème que je sache non ? Et venant de la fille qui essaye de faire tomber les pourris d’ici et qui manque de se faire buter tous les jours, c’est riche.

Tu ne dis pas que tu as peur toi aussi, qu’elle revienne pas un soir. Et tu sais pas quoi en foutre de cette certitude. Tu pénètres dans l’appartement, tu t’écroules sur le canapé.

Je sais pas si c’est une bonne idée de vivre ensemble Lee. Après tout, je peux me prendre un appartement plus petit.

Ca y est, tu recules, tu fuis, tu veux pas de son odeur sur ton canapé, sur tes serviettes de la salle de bain, sur ta peau, merde, tu veux qu'elle parte, tout en voulant viscéralement qu’elle reste. Tu gémis, t’as eu l’idée débile de bouger, tu regarde ton bras emmuré dans un plâtre. Tu rales. Ca va être la merde pour te laver. Ca va mal finir cette histoire.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité
30.05.20 1:48

Clairement, ça te fait chier. Cette situation. Toi. Ce que ça te fait ressentir. Lui. Et sa tête d’idiot. T’as envie de le secouer dans tous les sens, parce que ça t’emmerde de le voir dans cet état. T’es admirative devant sa capacité à être tant serviable, tel un preux chevalier. Mais malgré tout, tu veux pas qu’il continue, tu ne veux pas qu’il lui arrive quoi que ce soit. Après tout, il a une adorable petite-fille qui a totalement besoin de lui. Toi aussi, t’as besoin de lui. Mais ça, jamais tu lui avoueras parce que toi-même, tu ne le réalises pas vraiment. T’es contradictoire comme fille, parfaite pour l’expression “fais ce que je dis, pas ce que je fais”. Tu veux pas qu’il prenne des risques, qu’il se fourre dans des histoires dangereuses, mais toi de l’autre côté, tu te jettes dedans la tête la première. Tu les prends aussi, toi, ces risques, parfois de manière encore moins réfléchie. Et t’es aussi la première à soupirer quand quelqu’un tente de te raisonner ou de te faire la morale. T’es très mal placée pour venir faire de même avec Gabriel, mais c’est plus fort que toi. Peu importe la situation, tout te pousse à t’inquiéter pour lui. « Ravie de voir que ça t’amuse ». Mais toi, ça t’amuse pas. Pas du tout même. Ça t’énerve même encore un peu plus de savoir qu’il ne prenait pas la chose au sérieux.

Tu n’ajoutes rien de plus, parce que de toute façon ça ne servirait à rien d’autre que d’envenimer la situation. Et ce n'est clairement pas ce dont tu as besoin là, maintenant. Encore moins lorsque tu vois le visage du jeune homme se crisper. Tu sais pertinemment que c’est parce qu’il a mal. Il a beau faire l’homme, quand la douleur prend le dessus, personne ne peut lui résister bien longtemps. C’est aussi peut-être pour ça que tu n’as pas retiré ta main de  la sienne. T’es bizarre, toi-même, tu sais pas sur quel pied danser. T’as envie de le réconforter et de le soigner, mais ça te gêne, parce que c’est pas dans vos habitudes d’agir ainsi, du moins, pas si ouvertement. Son silence t’inquiète quelque peu, parce que tu le connais. Tu sais que, généralement, c’est le silence avant la tempête. Et tu n’as pas tort du tout puisqu’il t’empêche de faire un pas de plus vers votre appartement pour déverser sa colère. Il n’était pas totalement à côté de la plaque, encore une fois t’es mal placée pour lui faire la leçon alors que tu te lances dans des affaires risquées régulièrement. Mais t’as le cœur qui se serre quand il exclut de sa vie en l’espace de quelques mots. T’aimes pas ça, quand il te dit clairement de te mêler de tes propres affaires. « C’est ce qu’on appelle les risques du métier, on peut pas en dire autant te concernant. C’est ton nouveau délire, de jouer au prince charmant dans la rue ? ». Tu roules des yeux ouvertement pour lui faire comprendre à quel point tu es exaspérée. À quel point IL t’exaspères. T’as beau faire de ton mieux, t’as toujours l’impression d’être de trop et ça commence à te gaver.

Puis, il prononce des mots en plus. Des mots qui te giflent en plein visage. Des mots que tu as envie de lui faire ravaler. Ça t’emmerde sévère. T’étais bien, toi, dans ton ancien appartement, à vivre ta vie, tant bien que mal. T’as rien demandé à personne en t’embarquant dans toute cette histoire. T’as voulu aidé, être présente et soutenir et aujourd’hui, c’est comme s’il te le reprocher. Tu ne dis rien durant de longues secondes, minutes même. Tu le regardes en t’interdisant de sortir un seul son d’entre tes lèvres. T’es en colère, en train de bouillir, prête à exploser. Mais tu ne dis rien, parce que t’en as tout simplement marre. T’as l’impression d’être constamment en sursis. À chaque fois qu’il ne gère plus, il te repousse. T’en as marre, t’es pas son jouet. Il peut pas se permettre de t’accueillir quand il le souhaite et de te rejeter quand il le souhaite. « Wow, vraiment très classe Collinsworth ». Il le sait aussi, Gabriel, que lorsqu’elle appelle les gens par leur nom de famille, ça veut dire qu’elle s’éloigne, elle aussi. Tu récupères ta veste que tu venais de déposer ainsi que ton sac, t’as besoin de te barrer avant de dire des choses que tu penses pas. Tu veux pas le blesser plus qu’il ne l’était déjà physiquement et surtout, t’as pas l’énergie pour te battre avec lui. Mais t’as besoin de faire sortir ta colère alors tu claques violemment la porte de l’appartement en sortant après lui avoir dit « J’vais à la pharmacie, commence peut-être déjà à épier les annonces de location ». Cette fois, t’as pas envie de le retenir. Bien sûr que tu ne veux pas qu’il s’en aille, pas en temps normal du moins. Là, t’es dans un état second, donc tu t’en fiches, t’as même presque envie de le mettre à la porte toi-même. Tu dévales les escaliers rapidement et t’aères l’esprit le temps d’aller chercher de quoi apaiser sa douleur et soigner ses blessures sur plusieurs jours. Tu rechignes avant de refaire le chemin en sens inverse jusqu’à te retrouver à nouveau devant la porte d’entrée. Tu pénètres dans l’appartement sans un mot et lances le sachet de médicaments sur Gabriel. T’es en colère certes, mais ça te peine toujours de savoir qu’il souffre. Après tout, ses agresseurs s’en sont donné à cœur joie et ils ne l’avaient pas raté.
Revenir en haut Aller en bas
ADMIN / a fucking mess
Gabriel Collinsworth
Gabriel Collinsworth
/ ORIGINES : Né en Irlande, "born and bred" mais son père a été adopté par des américains, abandonné aux pieds d'une caserne de pompier ici à Dublin.
FB / i can't say i need you +  LEE OnzWelK

/ STATUT : Père d'une petite puce de quelques années (6) qui a son franc parlé et dont la mère a décidé un jour qu'elle pouvait pas être mère, ni épouse. Sa rivale ? La bouteille, ils sont amis désormais, très proche.
Pire depuis qu'on lui a retiré la garde.
Peut être attiré par la psychopathe qui l'a sauvé.

/ OCCUPATION : A part boire ? C'est un imbécile de première sauf avec sa gamine, Sally. Quand il ne boit pas, il bosse dans un garage bardé de bikers tout autour. Il fait des jobs de"homme à tout faire aussi.
/ LOGEMENT : ►Appartement à TEMPLE BAR dans le même immeuble que des nanas bien chiantes ! Qu'il adore.
/ CRIMINALITE : Il était aussi propre qu'un sou neuf, puis il a décidé que c'était pas être raisonnable de vivre ici, alors il a essayé ptit con, et ça lui réussit plutôt bien. Les seuls qu'il frappe sont des gens qu'il juge dérangeant, ou s'il est de mauvaise humeur. Ou pas frais.
/ RELATIONS : BILLIE ► Sa petite soeur non biologique. Il est sorti avec l'une de ses soeurs et est resté dans es parages. Ils se supportent mutuellement.
O'MARA&co ► les petites soeurs qu'il a adopté
AILLA ► La chieuse qui est aussi une amie de BILLIE. Quand elle veut, elle ne lui tape pas sur nerfs.
MARA ► La cinglée qui lui a sauvé la vie.


/ VOS RPS : OMARAROMYMARA#2

TERMINE
BILLIE&coMARA#1

/ PSEUDO : Junkiie
/ CELEBRITE : jason staham
/ COMPTES : AlekseiFelicia
/ CRÉDITS : shellhead.
/ MESSAGES : 818
/ PIEGE DEPUIS : 12/04/2014
https://lttp.forumactif.org/t5291-gabriel-don-t-shoot-i-m-dead-already https://lttp.forumactif.org/t5316-gabriel-aleksei-felicia-alexan
30.05.20 20:59

Tu sais que c’est pas bon tout ça. Que tu vas merder, tôt ou tard. Pourtant, tu as continué de te mentir. Depuis que t’es revenu de là bas, et peut être avant, t’es différent. trop sanguin, trop chiant. Puis on t’as tour retiré, y compris ta fille et tout ce que tu as en tête c'est qu rien n’a de sens ni de gout. Et tu sais que c’est pas fini mais ça te fout en colère. Un truc qui te consume, qui te fout en l’air jour après jour. Et elle le voit, et elle veut que tu arrêtes, mais l’idée de l’embourber avec toi te fait gerber. Alors tu freines de quatre fers, tu fuis comme un lâche. Tu croyais quoi, que vous alliez vivre ensemble, passer du temps ensemble, t'es pas aveugle, ta gamine l’adore. Ça te fout la trouille, tu veux pas de complications, tu as déjà tenté, ça t’as laissé sur le carreau. Puis ya ta fierté, t’es défoncé, tu as rien demandé et tu peux pas juste prendre des coups sans les rendre, t’es pas fichu comme ça. Et on te le reproches. On t'emmerde, et même s’ils ont tous raison, t’as envie de gueuler, qu’est ce que ça peut te foutre ? Pour tes guerrières, tu sais d’où ça vient et que le tact les O’Mara, elles savent pas si ça se mange en salade, mais elle, c’est autre chose. Si elle s’inquiète, c’est le début de la fin. Alors tu la chasses la brune, tu es vache, pas mauvais, mais vache. T’pourrais pas être méchant avec elle même si t’essayais. Elle est furieuse, et à raison, tu viens de lui dire casse toi avec plein de tact. Mais avec ou sans, ça reste casse toi. Elle se barre, te laisse avec ta connerie, dans ton jus comme on dit. Tu t’enfonces dans le canapé, tu jures parce que tu as mal et que ça te fait chier d’avoir réagit comme ça. T’as beau avoir raccroché depuis deux ans, t’as toujours pas pensé que Dublin, c’est pas en club med, il faut faire attention où ça finit mal, comme pas emmerder des motards. En vrai, c’est pas seulement qu’tu t’inquiètes pour elle, c’est aussi que toi, aussi, tu t’inquiètes, comme un con. Ca c’est pas bon, putain, t’as pas compris, elle t’a pas suffit la blonde ? Tu as le réflexe de te prendre la tronche dans les mains avant de comprendre que tu peux pas faire ça au risque d’avoir mal. Fais chier. Elle revient et balance les médicaments. Tu te lèves, aussi vite que tu peux dans cet état d’ailleurs. Tu t’approches d’elle, tu sais que tu fais une connerie, t’es conscient que tu fous tout en l’air, mais t’as pas de répartie, t’en a une, et elle est efficace, juste stupide. Tu lui prends la main et l’amènes à toi pour la coller ensuite au mur. Tes lèvres s’écrasent sur les siennes comme un drogué en manque, ce que t’es surement. En manque de contacts humains. T’es pas un loup solitaire, toi, la preuve, tu es allé te coltiner une tribus de nana que t’aimes à en crever. Même si, elles auront ta peau les sales bêtes. Tu as besoin de tenir à quelqu’un, même si tu refuses, même si t’es terrifié de souffrir de nouveau. même si tu continueras à te perdre dans des draps, pour t’échapper. Yen a c’est l'héroïne, toi c’est l’alcool, le cul et tes poings. Tu lâches ses lèvres à regret, pose ton front sur le sien, caresse de ton nez le sien.

Jsuis un idiot. Un idiot qui veut pas t’embarquer dans sa merde. Un idiot que tu rends fous. Pars pas.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité
31.05.20 13:23

C’est pas comme ça que t’as imaginé ta soirée. T’as passé une journée un peu pourrie au boulot, à faire uniquement de la paperasse et ça t’emmerde. Tu admires tes supérieurs parce qu’ils font un boulot monstre et que tu adores ce journal. Mais tu ne peux nier vouloir être sur le terrain constamment. Rédiger des rapports, des propositions d’articles et un compte-rendu mensuel, ça te gave. Et surtout, ça te prend un temps monstre. Tu sais très bien que ton chef le fait uniquement pour te garder à l’œil de temps en temps. Il n’est pas dupe, il sait pertinemment que tu fais ta maline dehors, sans prendre conscience que ça pourrait être la fin un jour. Mais il t’apprécie puis, il sait que tu fais du bon boulot et que tu as une part de responsabilité dans la popularité du journal. Tout ça pour dire que ce n’est pas comme ça que tu as imaginé passer ta soirée. Impatiente de quitter le journal ce soir, tu as imaginé commander asiatique et te poser devant un film débile tout en scrutant les réseaux sociaux sur ton téléphone. Tu es tellement épuisée qu’avec de la chance, tu te serais endormie devant la télé et Gabriel t’aurait couverte sans te réveiller. Puis tu te serais levé le lendemain matin, pimpante comme jamais et prête à attaquer une nouvelle journée. On est loin de ce scénario à l’heure actuelle. T’es tellement énervée et frustrée que t’as une migraine dégueulasse qui s‘est logée dans ton crâne. Tu te masses instinctivement les tempes, mais tu sais que ça ne sert à rien tant que tu ne te calmes pas. Tu pourrais passer tes nerfs sur Gabriel, maintenant que tu es rentré à nouveau à l’appartement. Il a l’air de s’être calmé, restant sur le canapé comme une petite brebis. Mais tu n’as plus l’énergie pour te battre contre lui. Pourtant, tu en as des choses à lui dire, surtout après toutes ces conneries qu’il t’a balancé avant que tu ne partes. C’est un idiot. Un idiot fini. Mais cet idiot, tu as du mal à t’en passer. Tu l’adores plus que de raison, mais tu as aussi envie de lui fracasser le visage contre un mur tellement il t’énerve par moments.

C’est pour ça que t’es pas impressionnée quand tu le vois se lever. D’ordinaire, tu lui aurais demandé ce qu’il avait l’intention de faire, lui demander s’il avait besoin de quelque chose, pour le faire à sa place et éviter qu’il ne se fasse davantage mal. Mais là, tu t’en fiches. Tu es tellement en colère contre lui, que ça ne te fait rien de savoir que bouger chaque membre lui fait un mal de chien. Puis, il s’approche de toi, encore, encore et encore. Tu arques un sourcil sans faire le moindre mouvement, comme pour lui montrer que t’es plus forte que ça et que t’as pas l’intention de partir de cet appartement. Tu as ton caractère de merde aussi et t’as aucune gêne à être têtue et à le montrer. Mais là, c’est autre chose. Une autre ambiance. Gabriel, quand il te prend la main et te pousse contre le mur, ça te fait autre chose. Tu es éprise d’une autre sensation, tout aussi violente que ta colère. La passion. C’est la passion qui t’anime alors qu’il écrase ses lèvres contre les tiennes, férocement. Tu suis naturellement le mouvement en y ajoutant encore plus de ferveur, comme si tu attends ça depuis toujours. T’as l’impression d’être à ta place, comme si c’était la tienne depuis toujours. Et ça te fait peur aussi, tu veux pas que ça se passe comme ça. Tu veux pas tout foutre en l’air avec Gabriel. Tu sais qu’il est instable émotionnellement et que tu l’es également. Vous êtes deux handicapés sentimentaux et les deux ensemble ne font pas bon ménage. Tu t’en fiches. Tu t’accroches au goût de ses lèvres comme si ta vie en dépendait. Lorsqu’il s’écarte, t’es essoufflée et tu déposes ta main sur sa joue. Son parfum te chatouille les narines, ce parfum pour lequel tu as envie de mourir. Tu n’arrives pas à lui en vouloir davantage, encore moins quand il te demande de ne pas partir. Tu te mords la lèvre inférieure pour t’empêcher de sourire à ses paroles. Tu veux pas passer pour la fille naïve qui sourit bêtement quand on lui dit de jolies choses. « Oui, t’es un idiot. Mon idiot ». En tout cas, à cet instant précis, il est tien. Ce sont tes lèvres qui sont rougies pour avoir été embrassées par Gabriel. C’est sa respiration que tu sens contre ton visage. La main toujours posée sur sa joue, tu uses de l’autre pour t’accrocher à son pull et le tirer davantage vers toi. Cette fois-ci, c’est toi qui fais le pas vers lui et la danse de vos lèvres reprend de plus bel. T’as peur de la suite des événements, mais l’envie d’aller plus loin est bien plus forte alors tu te laisses porter par l’instant présent. Tu regretteras plus tard.
Revenir en haut Aller en bas
ADMIN / a fucking mess
Gabriel Collinsworth
Gabriel Collinsworth
/ ORIGINES : Né en Irlande, "born and bred" mais son père a été adopté par des américains, abandonné aux pieds d'une caserne de pompier ici à Dublin.
FB / i can't say i need you +  LEE OnzWelK

/ STATUT : Père d'une petite puce de quelques années (6) qui a son franc parlé et dont la mère a décidé un jour qu'elle pouvait pas être mère, ni épouse. Sa rivale ? La bouteille, ils sont amis désormais, très proche.
Pire depuis qu'on lui a retiré la garde.
Peut être attiré par la psychopathe qui l'a sauvé.

/ OCCUPATION : A part boire ? C'est un imbécile de première sauf avec sa gamine, Sally. Quand il ne boit pas, il bosse dans un garage bardé de bikers tout autour. Il fait des jobs de"homme à tout faire aussi.
/ LOGEMENT : ►Appartement à TEMPLE BAR dans le même immeuble que des nanas bien chiantes ! Qu'il adore.
/ CRIMINALITE : Il était aussi propre qu'un sou neuf, puis il a décidé que c'était pas être raisonnable de vivre ici, alors il a essayé ptit con, et ça lui réussit plutôt bien. Les seuls qu'il frappe sont des gens qu'il juge dérangeant, ou s'il est de mauvaise humeur. Ou pas frais.
/ RELATIONS : BILLIE ► Sa petite soeur non biologique. Il est sorti avec l'une de ses soeurs et est resté dans es parages. Ils se supportent mutuellement.
O'MARA&co ► les petites soeurs qu'il a adopté
AILLA ► La chieuse qui est aussi une amie de BILLIE. Quand elle veut, elle ne lui tape pas sur nerfs.
MARA ► La cinglée qui lui a sauvé la vie.


/ VOS RPS : OMARAROMYMARA#2

TERMINE
BILLIE&coMARA#1

/ PSEUDO : Junkiie
/ CELEBRITE : jason staham
/ COMPTES : AlekseiFelicia
/ CRÉDITS : shellhead.
/ MESSAGES : 818
/ PIEGE DEPUIS : 12/04/2014
https://lttp.forumactif.org/t5291-gabriel-don-t-shoot-i-m-dead-already https://lttp.forumactif.org/t5316-gabriel-aleksei-felicia-alexan
31.05.20 21:53

Ton coeur rate un battement. Elle a dit mon. En fait tout en toi hurle comme une sonnette d’alarme ABORT THE MISSION avec la lumière roue qui tourne et tout le tralala. Parce que ça y est, vous avez sauté sur la pente glissante, les emmerdes. Les emmerdes c’est toi qui t’attache à elle, elle aussi, et tout qui part en couille juste après. Parce que tu veux pas tenir à elle plus que ça, tu veux avoir une oreille attentive, tu veux une amie, à la limite, et encore, mais pas plus. Pourtant, malgré ton cerveau qui fume, tu ne retires pas tes lèvres ni tes mains, par contre, tu ne dis absolument rien. Tu oses pas. Parce que tu risques de dire de la merde comme tu as un don pour ça. Elle touche ta joue, tu sens la douceur de ses doigts sur ta peau, ne pas y penser. Elle reprend tes lèvres à son tour, tu commences par contre à sentir que debout, tu vas pas tenir très longtemps.

Canapé...mal.

C’est tout ce que tu peux dire, tu te retiens de blablater, parce que foutu pour foutu, tu veux juste l’embrasser à t’en abreuver des heures. Alors tu l’emmène doucement, grogne un peu vu que ta cheville a morflé aussi et l’emmène au final dans sa chambre, parce que le canapé c’est plus compliqué et tu risques de te louper, le lit, plus de surface. Tu t’assieds, sa main dans la tienne sur toi, sur tes genoux, tant bien que mal tout en tenant ton bras contre ton torse. Tu mets ton nez dans son cou, tu t’fais un rail de son odeur qui t’entête depuis deux ans. Tu poses ton front sur le sien.

Sure ?

Tu demandes, tu veux pas la forcer, mais tu veux surtout, une porte de sortie, faut qu’un de vous réalise la connerie non ? Même si tu as pas envie, ta main valide lâche son dos, se met plus loin sur le lit pour pas qu’elle tombe, et caresse ses fesses, puis regarde avec envie ses seins, ses jolis ptits seins qui te rendent fous enfermés dans leur satin. Elle est parfaite, tu l’a su depuis qu’elle a débarqué un jour dans cet immeuble. Peut être qu’elle savait, Ro’, que tu finirais par craquer, mais tu n’as commencé à y songer que lorsqu’elle a commencé ses moments nudistes chez toi. Tu ne fais rien, tu veux son feu vert, ta main caresse désormais son oreille, jouant avec ses cheveux. Tu le sais, tu te raccroches à elle, comme une bouée pour pas couler, et c’est mal de t’en servir pour ça. Mais t’as la trouille de te noyer.


Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité
14.07.20 22:57

Ce n’est pas une bonne idée. Tu le sais. Il le sait. Le monde entier le sait. Pourtant, tu continues de t’accrocher toujours un peu plus à lui, à son tee-shirt, puis à son visage, maintenant que tes mains s’y glissent et caressent délicatement sa peau. Tu attends n’importe quoi, un signe qui te pousserait à mettre un terme à votre échange fougueux, quelque chose pour te confirmer que tu ne dois pas aller plus loin. La limite est dépassée depuis bien longtemps maintenant, mais il n’est pas trop tard pour tout arrêter maintenant. Tu sais que ça va encore plus compliquer les choses entre vous, pourtant, tu le laisses t’emmener jusqu’à sa chambre sans broncher. Tu goûtes à ses lèvres comme si ta vie en dépendait et tu sens comme un choc électrique parcourir chaque parcelle de ta peau lorsqu’il pose sa main sur la tienne. Comment une seule personne peut-elle te faire autant d’effet ?

- Je …

Tu ne prononces pas un mot de plus. Enfouir ton regard dans le sien te suffit pour vouloir continuer. Ce n’est plus la raison qui te pousse à agir, mais ton cœur. Tu t'accroches à nouveau à ses lèvres et glisse tes mains sur son torse. Tu sais pertinemment que si tu laisses quelques secondes s’écouler, le doute va en profiter pour s'immiscer dans ton esprit et mettre un terme de suite à ce que ton instinct te demander de poursuivre. Mais c’est trop tard, désormais. Tu ne peux t’empêcher de penser que vous agissez sous le coup de l’émotion, que c’est simplement votre manière de vous vous réconcilier suite à votre dispute. Tu penses à la petite et surtout à Romy. Tu ne sais pas où en sont ces deux-là et au fond, tu ne veux pas savoir. Mais t’es une trop bonne personne pour continuer sans avoir de réponses. Tu ne veux pas te mettre entre eux et être celle qui sépare une famille. Tu n’es plus sûre de toi, de lui, de vous. Tu t’éloignes difficilement de lui en posant ta main sur son torse et te mordilles la lèvres inférieure, encore endoloris de vos baisers fougueux.

- C’est pas une bonne idée Gab’... Tu devrais te reposer.

Excuse de merde. Te servir de ses blessures pour le planter là. Tu n’en as pas envie, mais c’est bien trop le bordel dans ta tête désormais. Tu sais que lui aussi, il est conscient de la situation. Il va sûrement penser la même chose d’ailleurs, même si tu n’es pas totalement certaine. Tu passes ta main dans tes cheveux légèrement en bataille en évitant son regard. Tu sais que si tu croises ses yeux bleus, tu vas céder à nouveau à la tentation. Alors tu l’évites du regard, à défaut de pouvoir partir en courant de sa chambre. L’idée est bien présente dans ta tête, alors tu te lèves doucement en plantant tes yeux sur le mur.

- Je vais t’apporter tes cachets, tu devrais dormir.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé


Revenir en haut Aller en bas
 
FB / i can't say i need you + LEE
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Look through the pain :: this is dublin :: Temple bar :: Residential Area-
Sauter vers: