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| BILLIE / and a really stupid guy | |
| Auteur | Message |
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| Tu es un idiot. C’est acté. Quand tu t’es retrouvé avec la brune, ou rousse, tu sais plus, tu savais que t’étais en train de merder. Tu le sais, mais tu le fais quand même. Etait ce ta faute si ton client t’avait présenté à sa femme ? Non. Etait ce ta faute si elle avait eu envie de goûter ? Non. Après tu auras pu dire non. Enfin, si tu étais pas toi en fait. Alors tu avais filé à l'irlandaise de son lit, par la fenêtre, manqué de te tuer et tu étais parti. Tu n’avais pas prévu qu’elle soit con au point de le dire à son mari, ni qu’il finirait par te trouver. Tu avais passé la journée à l’éviter mais il avait réussi à te retrouver, là dans cette allée. Pas sombre, mais les gens se mêlaient pas de ça au risque de finir mal eux aussi.
– Tu pensais m’échapper crétin ? – En vrai ? Ouais. Comme quoi on peut se tromper. – Tu te fous de moi ? – J’oserais pas. Dois je te rappeler que l'objet que tu m’as demandé était pour ta maîtresse ? – Fils de..
Et le coup part, t’éclatant la lèvre. Tu aurais eu un réflexe insensé - pour fuir tu étais le roi - quand tu aperçois la jolie Billie. Tu tournes la tête pour la reluquer, quand tu sens une douleur au niveau du ventre, tu reviens sur le type gros comme un buffle et tu dis juste “aie”. Ta répartie était bluffante. Il vient de t’en foutre un coup dans le ventre. Comme tu es super fort - face à lui t’es un oisillon - tu lui mets un coup dans les partie, le plains un peu et cours aussi vite que tu peux. Tu finis contre une poitrine et quand tu relèves les yeux, c’est elle. Un jour tu seras hyper classe devant elle. Un jour, ouais, quand la greffe de cerveau sera de mise.
– Tiens ! Billie ! Il fait beau hein ?
Ile brouillard cache un peu le beau temps imaginaire, mais tu sais pas quoi dire. Tu te souviens que tu as un cerveau, tu sais juste plus comment le faire fonctionner.
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| | | Personnage en pause. / ORIGINES : irlandaise et dublinoise. / STATUT : célibataire qui profite, surtout d'un sextoy bien trop vieux pour elle mais terriblement efficace et addictif. / OCCUPATION : côté face, danseuse au pussycat club, vestige d'une ambition écrasée et oubliée. côté pile, nettoyeuse pour des crimes qui n'ont jamais été commis du coup parce qu'elle est douée dans ce qu'elle fait. / LOGEMENT : #66, appartement à temple bar. si vous entendez des cris et de la vaisselle brisée, vous êtes bien arrivé chez les O'Mara. / CRIMINALITE : elle fait de l'exercice à manier le balai, perd des calories en même temps que les litres de sang et sculpte ses abdos en soulevant les corps. elle est partout et nulle part parce qu'on ne la voit pas, jamais. / RELATIONS : i’m almost never serious, and I’m always too serious. too deep, too shallow. too sensitive, too cold hearted. I’m like a collection of paradoxes.
ALEKSEI ✤ the two of us was a little unorthodox ; it was like saying Mazel Tov with a Molotov.
AILLA ✤ we don't meet people by accident. they are meant to cross our path for a reason
GABRIEL ✤ a friend is a brother your heart chose for you / VOS RPS :
en cours ✤ ailla • deagan • alek 2 • jimmy
finis ✤ alek / PSEUDO : cristalline. / CELEBRITE : sophie turner. / CRÉDITS : (avatar) kelly. / MESSAGES : 692 / PIEGE DEPUIS : 06/05/2020 | |
| « Tiens ! Billie ! Il fait beau hein ? » Il doit faire beau, effectivement, mais Billie ne se préoccupe pas vraiment du ciel à ce moment-là. La seule couleur bleue qui l’intéresse (ou pas, on a dit, ou pas), c’est celle des yeux du type qui vient de lui rentrer dedans. Deagan dans toute sa splendeur ; à moitié courbé et la lèvre éclatée. Il y a des jours comme ça où on regretterait parfois de connaitre autant de monde. Mais Billie connait Deagan et elle relève ses propres yeux clairs pour voir d’où il vient. « Si t’as envie de mater mes seins, va falloir songer à une autre technique, Healey. » Même si Billie a souvent la sensation qu’il n’a pas besoin de la déshabiller pour la voir, c’est presque déstabilisant.
La jolie blonde le relève un peu, sa main sous son menton pour scruter son visage. « Tu s’ras ravi d’apprendre que tu survivras. » Puis elle regarde par-dessus son épaule, arque un sourcil et l’entraine ailleurs, dans un bon vieux cul de sac qui pue, qui est sale, jonché d’ordures aussi bien au sol que dégoulinant des bennes mais qui a le mérite au moins de pouvoir les cacher des assaillants du jeune homme qui filent droit devant. « Sérieusement, y a pas une journée qui se passera sans que quelqu’un manque de crever, ici ? » Il faut croire que c’est trop demandé. Surtout face à Deagan, alors qu’elle parle juste pour elle-même car elle est fatiguée, Billie Jean, d’être toujours là où il ne faut pas. Pauvre enfant, on pourrait presque pleurer pour elle. Mais son caractère est tellement dégueulasse que l’envie passe aussitôt. « J’ai l’droit de t’exploser le nez pour avoir gâché ma journée ? » Parce que oui, elle ne va pas le laisser comme ça donc il a gâché sa journée. Fatalement.
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| Franchement, toi, mater sa poitrine, tu as d’autres préoccupations. Comme échapper à ce type qui trompe sa femme et qui n’accepte pas qu’elle fasse de même. Normalement, il est plutôt con, mais parfois, certains se voient pousser quelques neurones le temps de te faire la peau. Toi, t’es coincé avec Billie, ta jolie blonde à qui t’es incapable de dire autre chose que des âneries. D’ailleurs elle t’accuse à la seconde où elle voit que c’est toi. Tu te laisses faire quand elle annonce, en te prenant le menton, que tu vas survivre. Tu souris, comme un gros demeuré. Pourtant, tu es doué, plus ou moins, avec les autres, non ? Quand c’est elle ton cerveau fond, tu ne vois que cette explication. Ta meilleur e amie en a une autre, tu n’en as pas quand ça concerne les femmes, tu fais juste illusion. Ou peut être que c’est normal, parce que c’est elle ? elle t’embarques vers un coin dégueu mais plus “sur”. Tu regardes autour de toi dégouté mais tu esquisses un autre sourire quand elle parle de la déchéance de Dublin.
– Comme un lundi à Dublin quoi, non ?
Pour toi aucun ne rattrape l’autre, peut être juste elle, Maz à la limite et encore. Les gens d’ici, tu les dénigres régulièrement, mais tu craches pas sur le fric qu’ils te rapportent. Elle propose de se genre de gâcher sa journée.
– Gacher ta journée tu exa..
Tu finis pas ta phrase et tu te mets à cracher du..sang ? Hein ? Tu sens d’ailleurs une douleur dans ton dos, ou tu as vraiment énervé Billie ou le type vient de te retrouver. Le gentil ptit idiot disparaît, ton sourire teinté de sang s’incurve. Tu te retournes, regardes le gars avec son ptit couteau dans sa main, fier de lui. Tu sors ton flingue à toi. Puis tu le remets dans son holster, tu ris. Tousses un peu, du sang dans ta main.
– Tu sais quoi, beaucoup ont tenté, et tu sais ce qu’ils ont en commun ? Ils me fuient ou peuvent pas en parler. Jvais te montrer salaud.
Effectivement, celui que tu montres à tout le monde, il est parti se doucher, reste juste le ptit garçon qui a appris très jeune que la pourriture, faut s’en débarrasser avant que ça prolifère. Personne ne sait que tu n’as jamais tué qu’une fois de tes propres mains. Tu t’approches et malgré la douleur que tu mets en arrière plan, tu joues et évites ses coups de couteau plutôt faibles et pas vraiment en cadence. Tu étais distrait, tu ne l’es plus, et tu as eu la meilleure des formations, la survie. Tu finis par lui sauter dessus et lui prendre son ptit couteau et lui coller sous la gorge, changeant de coups bien placés, une situation emmerdante. Mais l’égorger n’est pas dans tes plans.
– Tu m’oublies, tu oublies ta femme et tu te casses. La prochaine fois, je serais moins gentil et tu passes le mot, personne essaye de me buter ou touche à mes proches.
Le mec qui se sentait plutôt fier ne l’est plus et se barre en regardant derrière lui d’un air mauvais. Il finira par se faire buter par un autre, les faibles ne durent pas très longtemps ici.
– Toujours sûre que je vais survivre blue eyes ?
Que tu dis, une main sur le mur, l’autre touchant la tache de sang qui salit ta meilleur chemise. Ah c’est sûr, elle vient de voir ce que tu caches tous les jours, le type pas du tout idiot ni drôle en fait. Pas vraiment sexy non plus, juste un autre qui a dû troquer son âme pour pas crever au milieu des victimes de Dublin.
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| | | Personnage en pause. / ORIGINES : irlandaise et dublinoise. / STATUT : célibataire qui profite, surtout d'un sextoy bien trop vieux pour elle mais terriblement efficace et addictif. / OCCUPATION : côté face, danseuse au pussycat club, vestige d'une ambition écrasée et oubliée. côté pile, nettoyeuse pour des crimes qui n'ont jamais été commis du coup parce qu'elle est douée dans ce qu'elle fait. / LOGEMENT : #66, appartement à temple bar. si vous entendez des cris et de la vaisselle brisée, vous êtes bien arrivé chez les O'Mara. / CRIMINALITE : elle fait de l'exercice à manier le balai, perd des calories en même temps que les litres de sang et sculpte ses abdos en soulevant les corps. elle est partout et nulle part parce qu'on ne la voit pas, jamais. / RELATIONS : i’m almost never serious, and I’m always too serious. too deep, too shallow. too sensitive, too cold hearted. I’m like a collection of paradoxes.
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AILLA ✤ we don't meet people by accident. they are meant to cross our path for a reason
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| Il fait le malin mais flash news, Healey, tu ne l’es pas. Tu ne l’es pas du tout et O’Mara n’a que ses yeux pour les rouler et sa main pour venir frapper l’arrière de sa tête parce qu’il n’est pas obligé de le préciser. Il n’est pas forcé de souligner, de répéter, de faire parti de ces gens qui ont toujours ce même foutu disque rayé qui tourne avec grincement que leur ville est pourrie. Elle le sait, Billie Jean. Mais il peut se taire, Deagan. Parfois, il vaudrait mieux pour lui. Billie a deux yeux pour observer mais elle a aussi deux oreilles pour entendre, malheureusement pour lui. Il n’est pas dégueulasse, Deagan. Il ne l’est pas du tout. Il y a quelque chose qui frémit chez la jeune fille ; peut-être ses hormones, sûrement son cerveau, certainement pas son cœur. Ou alors ses entrailles qui la somment d’être un moins stricte, un peu moins chiante, plus compatissante ? (Ha ha, la blague. Comme si elle sait ce que c’est, la compassion.)
Billie s’en allait pour répliquer mais la voix de son interlocuteur prend le dessus avant d’être sauvagement interrompu par une petite mare de sang qui s’épanche sur sa chemise. Bordel de merde, si la grande blonde n’était pas habituée à éponger des hémoglobines, elle aurait sûrement tourné de l’œil. Mais elle est solide, la O’Mara, bien plus qu’on ne le croit. Mais autant dire qu’elle ne s'est pas attendue à ça. Pas à ce qu'on vienne le transpercer par derrière, encore moins à ce qu'il sorte un flingue pour le ranger trente secondes après. Pourquoi il le range ? Au point il en est, autant le buter, non ? Apparemment non et Billie regarde la scène comme au ralenti parce qu'elle ne s'est vraiment pas attendue à ça quand elle s'est levée ce matin.
On ne va pas se mentir, le côté bestial de Deagan est surprenant. Etonnant. Son accent est encore plus chantant et au lieu d’être effarée, elle serait presque turn on, la gamine. Faut dire qu’il en faut beaucoup pour l’effrayer.
Qu’est-ce qui l’empêche de lui sauter dessus ? Le fait qu’il redevient un idiot dès qu’il a fini, sûrement. « Toujours sûre que je vais survivre blue eyes ? » La ‘blue eyes’ en question suit la trace du type qui s’enfuie – la lâcheté dans toute sa splendeur mais tant mieux parce que « j’ai pas que ça à foutre » qu’elle grommelle entre ses dents avant de soupirer et de lui porter assistance (de mauvaise grâce mais avec une espèce d’inquiétude quand même, quelque part parce qu’y a quand même du sang, que ça tâche, ça coule et ils sont dans une ruelle dégueulasse et elle ne veut pas qu’il attrape une connerie et qu’elle soit responsable, not on my watch, sir). « Chai pas, j’peux te foutre une autre lame si tu veux pour voir si t’es résistant ou pas ? » Comme si Billie allait lui foutre sa dague entre les côtés (elle pourrait mais elle ne veut pas, elle est gentille comme ça).
Une main sur son épaule, elle grimace tout en le poussant gentiment contre le mur et ôtant sa main sur sa blessure. « J’suis pas infirmière, qu’est-ce que tu veux que j’fasse là ? Tu crois qu’y a un bandage potable dans les poubelles ou j’appelle l’hosto ? » Bien sûr, informons l’hôpital, ils ne seront pas à ça près, si ? Billie est habituée à nettoyer le sang, pas le faire arrêter de couler, for christsake.
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| Elle t’aide, tu pensais as, tu la voyais soit t’achever, soit te regarder crever là. Ou partir et te laisser là aussi. Tu inspires tant de bons sentiments aux gens, tu es habitué. Et surtout, tu fais exprès, moins de gens qui t’apprécient et moins de gens dans tes pattes à protéger ou dieu sais je encore. Elle t’aide à bouger, tu sais donc pas pour quelles raisons, et elle ajoute quand même une jolie boutade.
– Allez, va pour ça, mais vise bien, on me tue pas aussi facilement.
La preuve, t’es toujours en vie et c’est pas la première fois que tu sens un couteau passer à travers toi, la première fois, d'ailleurs, tu aurais du en crever et ça aurait été vachement plus simple. Tu la regardes avec un air qui essaye de faire de l’humour mais en vrai tu commences à pas aimer être dans cet état, avec elle. Le tit con sympa à la limite, mais là, c’est une autre part de toi qu’elle a découvert, et yu pensais pas qu’elle serait encore dans les parages, enfin, tu comprends rien à cette fille de toute façon. Ni aux autres en fait. Voilà qu’elle demande s’il a besoin d’aller à l'hôpital ou si elle devrait s’en charger, sauf que bon, elle semble pas vraiment en possession de ce qu’il faut.
– On peut aller chez moi, j’ai ce qu’il faut, mais jpeux aussi m’y rendre seul. T’embête pas.
Les moments de faiblesse, c’est ta bête noire et il est pas question qu’elle soit dans les parages, tu ramperais pour éviter ça. tu tiens encore à peu près debout et tu sais que chez toi , tu as de quoi faire un truc ou deux, et de l’alcool, beaucoup d’alcool. Tu te relèves d'ailleurs, regardes vite fait sa peau contre la tienne, puis chasses tes pensées et avance vers chez toi, tu ne rencontreras pas le type de si tôt de toute façon. Tu avances pas hyper vite et ta main est entièrement dégueulasse, mais tu y arrives assez vite, tu t’adosses à la porte, reprenant ton souffle et cherche tes clés, pour les faire tomber au sol, tu les regardes, te baisser risque d'être tout de suite plus compliqué. |
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| « Allez, va pour ça, mais vise bien, on me tue pas aussi facilement. » Ha ha. Il n’a pas perdu son sens de l’humour, Deagan, même avec ses hémoglobines qui se font une joie de se frayer un chemin vers tout ce qui ressort de son corps. Il tient maladroitement debout, il a moitié avachi, il a une sale tronche malgré ses yeux bleus lumineux. Et malgré aussi cette sorte de sourire en coin qu’il a pour se donner un genre, certainement. Billie préfère décidément les cadavres, c’est quand même moins chiant, ça parle moins et on se fait plus de souci pour eux. Là, Deagan la force à froncer des sourcils alors qu’elle n’a pas envie, il l’incite à l’achever alors qu’au final, elle veut l’aider. Pourquoi ? Seule une force divine doit connaitre la réponse, O’Mara ne réagissant comme ça seulement avec ses sœurs. Et même pas pour les trois. « C’est relou, d’ailleurs, j’aurai moins d’mal avec ta dépouille. » Ça, c’est le genre de trucs qu’il faudrait peut-être que Billie Jean ne devrait pas dire. Mais Billie n’a pas la tête qui tourne droit donc on ne dira rien, on ne s’inquiétera pas, ce n’est qu’une phrase prononcée comme ça. Et à Dublin, ce n’est pas si surprenant de parler de mort à tous les coins de rue. Aussi souvent que de sexe, de trafic et de torture. ‘‘Comme un lundi à Dublin’’ en somme.
« On peut aller chez moi, j’ai ce qu’il faut, mais jpeux aussi m’y rendre seul. T’embête pas.» « Tu veux vraiment faire ton valeu- » Mais Deagan ne l’écoute plus, la gamine au regard ardent qui le suit alors qu’il se tire clopin clopant hors de la ruelle. Billie lève sa main avec une grimace, du sang s’y trouvant sans réelle surprise. Ce n’est pas comme si elle avait mieux à faire, pas vrai ? Elle ne prend son service que ce soir et personne n’a besoin d’elle là maintenant tout de suite. Alors elle tire sur son short (de sa main propre, pas conne) et tente d’essuyer sa main contre le mur avant de se mettre à sa poursuite. Elle ne met guère de temps à foutre la main sur lui et elle le suit à distance - pour ne pas lui foutre la honte et tout ça, peut-être. Deagan reste un mâle, après tout, et un Irlandais en plus. Pas aussi macho que les sudistes mais la fierté, ça compte quand même un peu. Même si Billie Jean se demande s’il en a, de la fierté ou même de l’amour propre. Il doit le cacher quelque part si c’est le cas.
La tornade blonde finit par se pencher pour attraper les clés avant de se relever à quelques centimètres de lui. « T’y rendre seul, ok, mais ouvrir la porte, ça devient plus compliqué, faut croire. » Billie soutient son regard un moment avant de glisser la clé à côté de Deagan qui se prélasse (ou qui meurt, au choix) toujours contre la porte. « Allez, cowboy, sois fier, t’as réussi à m’ramener chez toi. » Pas qu’il est vraiment cherché. Car elle l’aurait rebroussé. Sûrement juste pour le plaisir de pouvoir le faire languir encore un peu. Billie Jean passe son bras par-dessus le sien et l’entraine vers le canapé avant de se mettre à lui ouvrir les boutons de sa chemise. « Si jamais tu crèves, j’ferai comme si j’te connaissais pas. »
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| La bonde, elle manque pas de répartie, toi t’en as pour les autres, pas autant pour elle. Tu fais trop d’esprit avant de la voir, tu ne vois que ça. Tu as vidé ta ressources quand tu la rencontres enfin. Ou tu dis de la merde même en pensant et il faudrait que tu arrêtes. Elle a parlé de ta dépouille, tu as eu un rictus, parce que tu sais, ce qu’elle fait. Pas précisément, mais tu n’es pas con et tu te démerdes pour savoir qui fait quoi, histoire de savoir qui appeler pour un de tes clients et pas ceux du magasin. Tu sais qu’elle sait faire disparaître un corps, , tu n’as pas cherché plus loin, tu as pas envie, tu es pas sur qu’elle veuille que ça se sache, quoi que, tu sais pas, si ça se trouve elle s’en moque ? Tu la retrouves devant ta porte et elle ouvre la porte. Elle t’a suivi ? Tu comprends pas, pourquoi ? Cette fille - comme les autres - est une énigme. En fait, non, elles ne le sont pas toutes, celle là est une à part. Tu la regardes, pas très là, parce que tu ne t’y attendais pas, du tout.
– Tu.. T’es. ok.
L’art de la communication once again, on est à l'apogée d’une conversation complète. Tu aurais ri si tu avais pas un trou au niveau du bide. Avant que tu puisses comprendre et que tes neurones s’activent - ils vont faire une surcharge là - elle t’embarque dans..chez toi en fait et te sort qu’elle te félicite, tu as réussi à l’emmener chez toi. En fait tu n’en avais pas vraiment l’intention, et tu sais pas si tu as perdu du sang ou si c’est elle en train de te déshabiller qui te perturbe et fait sauter la baraque dans ta tête. Tu sens l’AVC. Tu regardes ses doigts sur ta peau, tu te demandes si t’es pas déjà mort et au paradis. Quoi que, elle est pas entièrement nue, donc ça doit pas être ça.
– J’aimerais autant pas. Tu as bandages, nécessaire à couture, whisky là, dans la salle de bain.
Tu as un taudis, un truc aménagé à la va vite, dans un loft qui semble limite abandonné vu comment tu as rien aménagé. Ton seul avantage ici, c’est la douche italienne. Ouais, tu as rien foutu, mais t’as un vrai lit avec un bon matelas, et une douche italienne, tu n’as aucune logique mais tu t’en fous, t’as pas envie d’avoir un super loft de toute façon, faudrait l’entretenir, et t’es pas le plus tidy des mecs. Tu la regardes, les doigts toujours sur toi. Tu regardes ta future cicatrice en formation, et celles qui sont déjà là depuis longtemps, tu mets ta main dessus, tu as oublié, l’espace d’un instant, que tu les avais, et tu as pas envie de lui présenter ta carte routière. Peu de gens font le rapprochement entre le petit garçon retrouvé presque mort et toi.adulte, et tant mieux. Puis elle, elle devait pas être née, ou du moins, ça date de trop longtemps pour qu’elle sache qui tu es.
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| « Tu.. T’es. ok. » C’est ça, ok, Deagan, ferme là, Deagan, accepte l’aide que je te propose sans broncher, Deagan. Sois un bon petit soldat, ne sois pas embêtant, sinon, « ouais, chui là et tu ferrais mieux de t’y faire sinon, j’te finis proprement, ok ? Ok. » La menace est sortie de ses lèvres âpres, de sa voix mauvaise ? Oops. (Sorry not sorry.) Pourtant, Billie ne peut pas s’en empêcher. De rester, de s’enfoncer un peu plus chez lui, de l’aider à se porter sur le canapé qui rebondit mollement sous son poids. Leurs poids puisqu’elle vient le rejoindre pour le déshabiller - seul but de voir les dégâts causés par ducon junior.
« J’aimerais autant pas. Tu as bandages, nécessaire à couture, whisky là, dans la salle de bain. » Billie Jean émet un léger ricanement. « Whisky dans la salle de bain ? Décidément, t’es fidèle à ta réput. » Celui d’être un joyeux luron, d’être l’alcoolique imbécile que tout le monde voit mais personne ne remarque. Mais au vu de la tâche de sang qui persiste à couler, y en a encore quelqu’uns qui le remarquent. Pas pour les bonnes raisons, par contre, et ça, c’est assez fâcheux. Billie Jean finit par se lever pour filer dans la salle de bain. Elle fouille, elle bouge, elle fout le bordel pour mettre la main sur ce qu’il y a besoin - que Deagan sache exactement ce dont il a besoin est presque terrifiant. Mais on est à Dublin. Cependant, Billie est plus au courant sur les produits à utiliser pour nettoyer le sang que ceux pour garder le sang à l’intérieur de soi.
« Y avait pas option couture à l’école alors si c’est moche, viens pas te plaindre. » Qu’elle dit en revenant au salon. « Déjà, si tu survis, ça sera une bonne chose. » Elle dévisse la bouteille, boit un coup (ne la jugez pas, il va lui falloir du courage, après tout), puis humidifie le coton avec pour l’appliquer contre la plaie. « Tu veux un truc dans la bouche pour pas crier ? » Demande-t-elle, un brin moqueur avant de se pencher un peu plus vers la blessure. « Bien c’que j’pensais. T’as l’air habitué à ces conneries, pas vrai ? »
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| Elle n’a pas idée de l’effet qu’elle te fait, ni du fait qu’elle et fait marrer avec ses remarques. Du whisky dans la salle de bain, oui, mais juste au cas ou, le reste n'est pas au même endroit, c’est juste que tu as remarqué que tu pouvais autant le foutre sur tes blessure que le boire. C’est double emploi quand tu es blessé et dieu sait qu’on a essayé de te crever tant de fois. mais t’es comme les cafards, impossible à éliminer. Tu aurais ri si ça faisait pas un mal de chien, mais un fin sourire s’esquisse quand elle dit ça.
– Côté pratique jdirais en fait. J’ai celui que je bois le reste du temps dans la cuisine. Et dans ma cave aussi.
La cave c'est la pièce ou tu collectionnes des grands crus et tu parles pas de vin. T’as de tout mais pas mal de whisky faut le dire. c’est bon, tu n’en as pas honte, ça nettoie de l’intérieur, on est pas tous trump à le faire avec de l’eau de javel. Tu la regardes s’en aller chercher le matériel nécessaire à te garder sur terre encore un peu, jusqu'à la prochaine fois ou quelqu'un te trouver trop vivant à son goût. Elle revient avec tout et te parle de couture, tu fronces les sourcils, elle veut te..recoudre ? Tu retiens un rire et te tient le bide. Tu la regardes et de ta main propre tu prends son menton et lui souris. C’est peut être la première fois que tu n’es à moitié à la ramasse avec elle, combien de temps durera t’elle cette lueur de lucidité ?
– Love, je comptais le faire moi même, d’où le whisky. On s’connait pas encore assez pour l’atelier couture, sorry.
Tu lui prends ce qu’elle a dans la main, prends le briquet et crames le bout de l’aiguille, comme tu as pu faire un paquet de fois. Tu prends le fil et tu entres en grimaçant le bout dans ta peau, commençant à refermer la plaie. Régulièrement tu balances du whisky dessus pour nettoyer. Tu aurais pu le faire au début, mais bon, t’as encore jamais eu d’infection. C’est efficace le whisky, surtout celui que tu laisses vieillir. Tu finis presque et reverse une touche de whisky, tu as bu quelques gorgées au passage et tu grinces et en prends une autre lampée.
– Si tu veux mettre les bandages, tu peux par contre, ce sera plus pratique. Ensuite tu me parleras de ton charmant travail, j’ai juste des rumeurs, que tu saurais t'occuper des morts, pas vraiment le reste, jsuis curieux.
Ok t’as plus que des doutes, mais tu veux l’entendre de sa bouche, délicieusement gourmande. Parce que tu peux pas t’en empêcher, tu imagines déjà l’enrôler dans tes nombreuses sources de services. Peut être aussi dans l’espoir de la voir plus souvent ? T’es pas vraiment subtil en fait, mais elle te rend complètement fou. Si t’avais une once d’instinct de survie tu la fuirais, mais c’est déjà établi, t’es pourri de ce côté là. Elle va devoir te toucher, elle va voir le reste des marques, et pour une fois, tu fais abstraction. Pourtant, il n’est pas rare que tu arrêtes la main d’une des femmes qui partagent ton lit quand elles s’y attardent. Pourtant, la partie masochiste de ton être veut voir sa réaction.
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ALEKSEI ✤ the two of us was a little unorthodox ; it was like saying Mazel Tov with a Molotov.
AILLA ✤ we don't meet people by accident. they are meant to cross our path for a reason
GABRIEL ✤ a friend is a brother your heart chose for you / VOS RPS :
en cours ✤ ailla • deagan • alek 2 • jimmy
finis ✤ alek / PSEUDO : cristalline. / CELEBRITE : sophie turner. / CRÉDITS : (avatar) kelly. / MESSAGES : 692 / PIEGE DEPUIS : 06/05/2020 | |
| Billie ne va pas juger. Elle n’a pas le temps à perdre pour ça, elle a de l’énergie à revendre ailleurs et en plus, ça serait mal vu de sa part de faire des reproches ou des remarques alors qu’elle n’est pas mieux. Billie Jean se contente alors d’arquer un sourcil. De toute façon, boire est une façon de vivre dans le coin, un état d’esprit que même les petits nouveaux du quartier s’adaptent finalement assez rapidement. On prend plus le pli de ce sens là que de l’autre, c’est un fait. Billie l’observe cependant faire ses premiers soins devant, tapant du pied nerveusement sans nervosité contre le sol, les clés dans sa poche étant le seul bruit que l’on pouvait entendre avant qu’il reprenne la parole.
Il lui parle de bandages et de travail. Son travail. Et là, elle ne peut s’empêcher d’avoir un mouvement de recul, ses yeux bleus trahissant sa surprise. « Considère les rumeurs comme telles, alors. » Parce que ce n’est pas elle qui affirmera ça ni qui étouffera sa soif de curiosité. Elle est censée être discrète. Si on apprend qu’on commence à le savoir, ses sœurs vont retrouver sa tête sur une pic bien plus tôt qu’elles ne l’auraient espéré. Elle attrape ce qu’il faut pour bander la plaie et se retrouve à devoir de nouveau l’approcher. Mais maintenant qu’il vient de lui balancer ça, Billie Jean ignore comment vraiment réagir, sa mauvaise humeur reprenant de nouveau le dessus alors que ses doigts frôlent sa peau tout le bruit du sparadrap qu’elle étale, ses yeux s’appuyant sans le vouloir sur les cicatrices. « J’vois que t’es habitué à t’faire perforer. » Plus une évidence qu’un constat. Et une façon de changer de sujet, aussi.
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| Tu comprends qu’elle veut entretenir le mystère. Qu’elle veut pas que tu saches ce qu’elle fait. Tu comprends, un peu. Toi aussi t’as tes secrets. Mais tu as envie de savoir plus, pas par simple curiosité, mais parce que tu aimerais bien la recruter pour être un de tes contacts. Tu te doutais qu’elle serait précieuse. elle prend de quoi t’enrubanner et commences la momification, tu souris, la regardes faire, intrigué. Tu es habitué aux regards, aux surprises quand on découvre les traces loin d’être récentes même si tu en as ajouté quelques unes. Elle s’applique à maintenir le bandage. Elle reste fixée sur les marques. Tu ne sais pas vraiment comment réagir, tu ne dis rien, peut être parce que tu es curieux de savoir ce qu’elle va dire ou faire. Elle ne veut pas parler de ce que tu as dis, elle change le sujet, aussi subtil qu’un éléphant dans un magasin de porcelaine. Elle parle de ton corps. Elle ose. La plupart se taisent, certaines ont demandé, et tu as vite perdu envie de te les faire. Rares sont les femmes que tu côtoies en fait. Du moins, que tu ne t’envoies pas. Et c’est pas faute d’avoir ton corps entier sous l'envoûtement de cette jeune femme. Dublin vous fout en l’air tant de jeunes, elle avait sans doute vieilli aussi vite que lui et bien d’autres.
– Pas tant que ça. C’était un prix de groupe.
Tu lèves ton regard perçant et sombre sur elle, tu te noies à nouveau dans celui ci. Tu souris.
– Pour ce que qui est des rumeurs, en fait, je ne voulais pas te faire peur. Je ne dirais rien, mon job, c’est pas fleuriste. Enfin, du moins, pas celui où j’excelle. Jsuis un intermédiaire. Je fournis à mes clients des services en tout genre. Mais peut être que ton job actuel te suffit. Je paye bien, et tant qu’on me trahit pas, je ne divulgue rien de mes contacts. D’ailleurs mes clients ne les rencontrent jamais.
Tu n’as pas pu t’en empêcher, tu n’es pas le charmeur de ses dames, non, tu es à l'affût, tu vois un talent, tu le veux pour tes clients, pour toi. Bien sur l’idée de la côtoyer plus souvent te faut dresser ce que tu portes sous la ceinture, mais tu vois aussi qu’elle a peut être besoin d’un peu plus de cash. Ici l’argent achète une illusion de sécurité.
– Si ça t'intéresse pas c’est pas grave. Je serais une tombe.
Ton doigt touche brièvement sa lèvre, puis la retire comme brûlé. Tu ne t’excuses pas, pas ton genre, elle t’attire comme un moustique vers la lumière.
– Tu devrais t’en aller. Merci.
Tu te souviens pourquoi la seule que tu laisses à peu près entrer dans ton univers c’est Maze, et peu d’autres. Si elle veut pas d’un moyen de se faire du fric, il vaut mieux que tu oublies et ta basse anatomie n’en sera que plus sage. T’es cependant pas certain que vos pas ne se croiseront plus. Jamais une femme n’a eut cet ascendant sur toi et tu n’aimes pas ça. |
| | | Personnage en pause. / ORIGINES : irlandaise et dublinoise. / STATUT : célibataire qui profite, surtout d'un sextoy bien trop vieux pour elle mais terriblement efficace et addictif. / OCCUPATION : côté face, danseuse au pussycat club, vestige d'une ambition écrasée et oubliée. côté pile, nettoyeuse pour des crimes qui n'ont jamais été commis du coup parce qu'elle est douée dans ce qu'elle fait. / LOGEMENT : #66, appartement à temple bar. si vous entendez des cris et de la vaisselle brisée, vous êtes bien arrivé chez les O'Mara. / CRIMINALITE : elle fait de l'exercice à manier le balai, perd des calories en même temps que les litres de sang et sculpte ses abdos en soulevant les corps. elle est partout et nulle part parce qu'on ne la voit pas, jamais. / RELATIONS : i’m almost never serious, and I’m always too serious. too deep, too shallow. too sensitive, too cold hearted. I’m like a collection of paradoxes.
ALEKSEI ✤ the two of us was a little unorthodox ; it was like saying Mazel Tov with a Molotov.
AILLA ✤ we don't meet people by accident. they are meant to cross our path for a reason
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| Billie ne peut empêcher le sourire amusé qui traverse ses lèvres face à la connerie qu’il lui sort. Un prix de groupe, et étrangement elle peut comprendre. C’est une boutade mais sans l’être certainement, exactement parce que c’est ce dont ils sont habitués dans cette ville. On tombe seul mais on prend toujours soin d’entrainer du monde avec soi. Elle n’est pas franchement étonnée. Ni par ses propos ni qu’il soit marqué. Les blessures donnent du charme, de la gueule, de la carrure, de l’historique. Elles sont ancrées, présentes mais elles sont aussi la preuve que la personne est toujours debout et vivante malgré tout. Deagan a cette réputation du gars du coin abandonné, le picolo de service, celui qui parfois parle de choses incohérentes et dont personne ne fait gaffe. Alors ses yeux bleus qui glissent de son torse à son visage, c’est presque comme si elle vient de découvrir quelque chose de nouveau. Ce qui est sûrement le cas. Parce que Deagan ne se vante pas de ça, il n’en dit rien. Il préfère que les gens pensent qu’il est un déchet de la société plutôt qu’un survivant de ce dernier. C’est presque admirable.
Puis il lui parle de ce qu’il fait et là, Billie Jean arque un sourcil. Une nouveauté, encore une, toute fraiche, et dont elle ne s’attendait pas vraiment. Il faut dire qu’elle ne trifouille pas dans les affaires d’autrui, la O’Mara. Elle n’aimerait pas qu’on fasse la même pour elle. Et franchement, les autres ne l’intéressent pas. Surtout si ça ne rapporte rien. A elle et ses intérêts. « Est–ce que c’est une proposition de taf que tu m’fais ? » Il fallait qu’elle le dise à haute voix, juste pour être certaine. Il lui touche la lèvre pour la retirer aussitôt, la blonde ne capte pas plus. Il lui dit de s’en aller et Billie Jean serait tentée de le faire. Alors elle se lève, elle reprend son sac sur l’épaule, fait deux pas puis s’arrête. Elle mordille sa lèvre, puis sa joue, et elle finit par se retourner vers lui de nouveau. « Pourquoi moi ? Comment tu sais ce que j’fais ? Est–ce que je suis juste tombée dans des informations par hasard ou tu cherches à me recruter moi ? Et niveau fric, ça vaut quoi en plus ? » C’est égoïste comme demande mais elle a besoin de savoir. Parce qu’elle est curieuse. Et que bon, ce n’est pas Billie Jean O’Mara qui cracherait sur plus d’argent à se faire.
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| @Billie Jean O'Mara Billie ne réalise pas encore qu’elle voit ce que tu ne montres qu’à peu de gens. Très peu. Voire personne si on réfléchit vraiment. Elle n’est pas encore partie en courant et tu le sais, c’est aussi parce que par ici, pour ceux qu'ont les yeux ouverts, c’est commun. C’est habituel et redondant et pourtant, tu rencontres des anges parfois. Pas dans le premier sens du terme tu te doutes qu’elle n’en est pas un, mais pour toi, elle illumine ta journée, et tu es conscient que tout ceci est ridicule. Que tu ne lui offres absolument rien et qu’elle n’est pas ce genre de personne. Elle demande si c’est une offre d’embauche et tu souris, malgré toi.
– C’était pas assez clair ? Après bien sur il faudra que tu acceptes pour que jte montre en quoi ça consiste.
C’est tout de suite plus compliqué si tu passes du temps avec elle, et en même temps tu n’habitais pas avec tes contacts et tu ne passais pas tout ton temps avec, tu devrais t’en sortir, plus ou moins. Même si ces derniers temps vous vous croisiez assez souvent. Si tu croyais aux conneries de destin etc, ça se saurait. Pourtant à la seconde ou tes doigts touchent ses lèvres, tu sais que tu as merdé. Elle se lève, va pour s’en aller, puis se tourne et mordille sa lèvre. Merde. Si ton pantalon n’était pas aussi serré, ça se verrait à quel quel point ton corps réagit à ses lèvres pincées avec ses dents. Il va plus rester grand chose de toi et tu vas avoir très envie de vider cet te sensation avec quelqu’un,n’importe qui, pour ne pas lui faire comprendre à quel point ton être entier est attiré par elle. Tu as tout de même piqué sa curiosité, elle finit par te demander plus de renseignements.
– Disons que lorsque tu commences petit à devoir faire attention, tu fais en sorte d’être suffisamment informé. Je n’ai pas poussé loin, mais certaines sources m’ont dit que tu étais efficace. que tu serais une belle addition. Ils savent mes critères. Quant à la paye, ça dépend de qui est le client. Mais généralement tu as de quoi faire un bon mois tranquillement. En une seule fois si tu veux. Après, j’manque pas de clients. Et contrairement aux apparences, j’ai pas de souci de sous.
Tu attends de savoir ce qu’elle en pense, si elle veut te suivre là dedans, et tu oublies que c’est le cash qui l’attire, pas toi. |
| | | Personnage en pause. / ORIGINES : irlandaise et dublinoise. / STATUT : célibataire qui profite, surtout d'un sextoy bien trop vieux pour elle mais terriblement efficace et addictif. / OCCUPATION : côté face, danseuse au pussycat club, vestige d'une ambition écrasée et oubliée. côté pile, nettoyeuse pour des crimes qui n'ont jamais été commis du coup parce qu'elle est douée dans ce qu'elle fait. / LOGEMENT : #66, appartement à temple bar. si vous entendez des cris et de la vaisselle brisée, vous êtes bien arrivé chez les O'Mara. / CRIMINALITE : elle fait de l'exercice à manier le balai, perd des calories en même temps que les litres de sang et sculpte ses abdos en soulevant les corps. elle est partout et nulle part parce qu'on ne la voit pas, jamais. / RELATIONS : i’m almost never serious, and I’m always too serious. too deep, too shallow. too sensitive, too cold hearted. I’m like a collection of paradoxes.
ALEKSEI ✤ the two of us was a little unorthodox ; it was like saying Mazel Tov with a Molotov.
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| « C’était pas assez clair ? Après bien sûr il faudra que tu acceptes pour que jte montre en quoi ça consiste. » Est–ce que Billie est encore à une affaire louche près ? Certainement que non. Est–ce que Billie va cracher sur plus d’oseilles à se faire ? Encore moins. Il n’y a jamais assez d’argent dans les caisses familiales, il leur en faut toujours plus. Ce n’est pas négligeable comme proposition et O’Mara n’est qu’une âme en perdition dans cette grande ville, essayant juste de faire au mieux pour s’en sortir sans trop d’égratignures. Même si ça veut dire plonger ses mains dans la merde – et surtout dans le sang – quand il le faut – autrement dit, de plus en plus souvent. A croire que la mafia a décidé de leur faire vivre un véritable enfer – ou alors qu’il y a une vraie purge dans le coin. « Je demande juste confirmation parce que je savais pas qu’on en était à ce niveau de proximité, tu vois. »
« Disons que lorsque tu commences petit à devoir faire attention, tu fais en sorte d’être suffisamment informé. Je n’ai pas poussé loin, mais certaines sources m’ont dit que tu étais efficace. Que tu serais une belle addition. Ils savent mes critères. Quant à la paye, ça dépend de qui est le client. Mais généralement tu as de quoi faire un bon mois tranquillement. En une seule fois si tu veux. Après, j’manque pas de clients. Et contrairement aux apparences, j’ai pas de souci de sous. » Deagan est en train de lui balancer tous ce qu’il faut pour la faire craquer, clairement. Et évidemment, Billie va s’y raccrocher. Elle ne peut plus dénier qu’il la rend curieuse, qu’elle a son expression qui passe de la défiance à l’intérêt. « Okay. » Elle espère qu’elle aussi est claire. Elle n’a pas besoin d’en dire plus. O’Mara garde ses doigts sur la lanière de son sac, hochant la tête. « Okay. » Qu’elle répète, juste au cas où. « Je sais pas qui t’as dit que j’étais efficace mais c’est le cas. On a pas eu à se plaindre de moi. » Que ce soit pour le métier pile ou le métier face. A part quelques débordements mais ça, c’est plus fort qu’elle. Surtout quand on l’attaque ou qu’on la tripote sans son autorisation. « Je risque pas ma tête en ligne de mire, j’espère ? » Parce que ça doit se retourner contre elle un moment ou un autre, elle risque de l’avoir (très) mauvaise.
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| La proximité ? Mais non, pas besoin de ça pour proposer un job. D’ailleurs, généralement, il proposait pas à des gens qu'il appréciait mais juste ceux qu’il trouvait compétent, peu importait leur domaine. Analyse en permanence, il se demandait parfois s’il ne le faisait pas en dormant. Billie, c’était en bonus une fille qui, au delà de son crush ado prépubère dont il était pas fier même s’il le cachait bien,la connerie, toujours utile, était quelqu’un avec qui il se voyait travailler plus souvent que d’autres. et son boulot semblait parfaitement utile vu le genre de clients qu'il avait.
– Il en faut pour déterminer que quelqu'un est efficace ? Je dois avouer que c’est plutôt rare que ça tombe sur quelqu’un que j’ai déjà croisé ou que j’apprécie.
Elle venait de dire, oui. Elle venait d’accepter. Il sentait que ça allait être très intéressant pour tous les deux. S’il arrivait à pas se la taper. Ca brouillait les lignes claires. puis il avait une chirurgienne glaciale à faire fondre, il devait se calmer. Il était pour rien si Billie était plutôt...disons impossible à passer devant sans dire ok, pas mal. Ou il était pas fichu de garder ses yeux et son analyse dans sa poche, parce que non, c’était pas juste son physique mais bien ce qu’elle dégageait qu’il avait remarqué. Elle parlait de ligne de mire et il fronça ses sourcils épais.
– Si tu penses que la mafia puisse savoir quoi que ce soit, tant que je ne fout pas la merde, ils s’en foutent que tu freelances je pense. Surtout que certains d’entre eux bossent déjà avec moi en fait. Je suis un intermédiaire Billie, rien de plus. Je repère les talents et leur donne de quoi l’utiliser. Et vous madame, en avez pas mal. Dit il sans s'approcher. C’était dangereux.
@Billie Jean O'Mara
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