You pick me up, again [PV Yara]

Elle était dans la mouise jusqu'au cou la demoiselle et elle continuait. Elle savait que partir allait être plus difficile avec lui qu’aucun autre coup d’un soir. Elle restait optimiste, ils s’offraient la parenthèse qu’ils ne s’étaient pas octroyé à l’époque, point. C’était amusant non, de se mentir à soi même ? Elle devenait plutôt douée la Yara. Leur moment fut plus qu’intense, et sa peau brûlante des ébats. Chaque grognement et elle se retenait de tout arrêter, c’était compliqué de se dire allo,s y et de ne pas faire attention à ses douleurs. Chaque fois son coeur se serrait comme une gourde qu’elle n’était pas. Elle était frustrée de ne pas savoir y faire abstraction. Il la rappela à l’ordre et éloigna sa main. C’était mignon, il voulait être entier, pour elle, merde, si elle commençait à penser ça, elle allait finir niais et les niais, on les fusillait dans son monde à elle. Enfin, il était blessé, il avait un peu le droit. Ses doigts vinrent rencontrer sa peau à elle, son épaule, une hanche, chaque contact la fit réagir. Pourtant elle était pas en manque, peut être, qu’elle réagissait parce que c'était lui, non, c’était ridicule, right ? Puis il entrait en elle, comme une moment libérateur qu’elle avait attendu avec impatience. Il fit doucement, au départ et elle se figura qu’il avait mal, puis de puls en plus rythmé tout en faisant attention, ce ne serait que plus jouissif, de prendre son temps. Ses lèvres à lui vinrent enflammer ensuite son cou, sa poitrine, si bien qu’elle en gémissait à chaque petit assaut. Elle aurait presque sourit de la fougue qu’il y mettait, tout en allant à son rythme.

Il put tenir plus qu’elle ne l’avait envisagé et en fut ravie, tandis qu’elle exultait en un soupir et des membres qui se crispaient sous le flot de ses sensations, elle se laissa choir, soulagée et en paix. Il déposa un baiser sur sa bouche tout en la calant contre lui, elle vit bien qu’il était plus détendu, River ne le satisfaisait pas pensa t’elle, un peu jalouse, même si elle n’en avait aucun droit. C’était pas de la possession, plus qu’elle avait eu ce que Yara n’avait pu avoir avant aujourd'hui. Elle caressa sa main, puis sa peau sur son torse, se nichant contre son flanc indemne. elle y déposa même des petits baisers, elle en était ridicule la donzelle, elle lui vola même un baiser de plus sur le coin de ses lèvres. Il sourit et lui annonça que si lorsqu’il était remit elle voulait découvrir ce que ça donnait contre un mur, il fallait pas hésiter, elle se sentit moins à l’aise, d’imaginer que le lendemain, elle ‘en irait comme n’importe quel coup d’un soir. Et ce n’était pas forcément lié à sa protection. Elle avait goûté et elle se rendait compte que son corps en redemandait, peut être son coeur. Attention, point de sentiments amoureux - faut pas abuser - mais plus une certaine affection pour ce flic déchu irrémédiablement sexy et ptit con. Le fait qu’il sache ce que la vie pouvait vous infliger, ce que la vie avait infligé à Yara, et encore, c’était étrangement agréable. Peu savaient son vrai parcours, il y avait des démons bien enterrés.

– Même pas des caresses ? Et j’ai hâte de savoir ce que ça donne contre un mur alors. Si tu survis jusque là. T’as intéret, tu as éveillé ma curiosité.

Dit elle relevant la tête pour lui déposer un baiser au creux de son flanc, elle était atteinte.

@Callen McMullen

Sa main sur a h nche, un baiser de plus, elle savait qu’elle était déjà en train de faire sauter ses barrière vitales pour elle. non, elle ne se laisserait pas avoir, non elle ne s’attacherait pas. Le nombre de types qui ne revenaient pas à la base avait rythmé son quotidien. Elle avait été très entourée, et chaque fois, elle devait s'attendre à ne jamais les revoir. Elle s’était jurée de ne pas donner plus que ce qu’elle pouvait supporter plus tard. Alors elle jouerait, elle profiterait, mais elle se retiendrait de lui donner autre chose qu’une touche d’affection et du cul. Et si elle n’y arrivait pas, elle fuirait. Ce n’était pas la première ni la dernière fois.

– Je demande à voir, mais ok !

Il était recherché par des sales types qui passaient leur vie à tuer d’autres. Il ne s’arrêterait jamais de chercher la merde. c’était pas des garanties qu’il irait bien ça, mais elle le laissait y croire. L’espoir fait vivre non ? Il s'avança ensuite pour lui parler de l’avenir, de ce qu’il avait à offrir, et ce qui n’était pas sans ses cordes. Il parlait d'exclusivité et elle se rembrunit, san qu’elle fasse exprès à ses paroles. Il allait l’aider au final à ne pas trop s’approcher. Alors pourquoi que ce soit lui qui en parle ne lui plaisait pas ?

– Ca tombe bien, je ne me suis jamais posée et je compte pas commencer avec un type que je pourrais perdre du jour au lendemain. J’ai donné. même si même en tant qu’ami, ce serait pas forcément génial à avaler, t’en a conscience ?

Il parlait de contrat et elle prit sa main qu'il avait posé sur sa joue. Elle fronça les sourcils.

– Je suis pas tueur à gages tu es au courant ? Et je tue pas mes amis, je ne prends que les missions pour lesquelles je suis en accord avec. Après ça dépend, va falloir beaucoup de cul pour me convaincre.

Dit elle avec un grand sourire tout en plongeant son regard sans le sien. Elle le disait sur le coup de la rigolade, surtout parce que le contrat sur sa tête, elle aurait déjà pu le prendre elle même...

Yara se mit à sourire en l’entendant parler d’avance. Il jouait avec elle, il jouait réellement, et elle était assez faible pour se laisser avoir comme une bleue, comme si elle avait pas compris qu'elle sautait à pieds joints dans un piège. Ca n’aidait pas qu’il lui plaise, physiquement, et elle aimait à peu près sa personnalité. Elle le trouvait bien trop casse cou et sur de lui, mais ça, c’était le truc des flics. Sa main vint prendre sa nuque et l’embrasser et elle répondit doucement à son baiser. Elle ronchonnait qu’elle ne résistait pas du tout. Son autre main vint se balader sur sa hanche puis ses fesses et elle sourit de plus belle. Même Mara ne la voyait pas autant sourire de façon sincère. Oh elle avait des sourires mais c’était rarement annonciateur de choses positives. Yara c’était pas l’enfance avec barbie princesse. C’était barbie guerrière qui se tape Gi Joe et qui le côtoie dans la vie réelle. Elle avait adoré évoluer autour de ses soldats, se battre avec, s’entrainer avec. Une part d'elle avait presque eu envie de s’engager. Mais elle en avait perdu trop pour les suivre dans ce qu’elle pensait être un suicide collectif. son pays elle en avait rien à battre s’il fallait donner sa vie sans ciller. Elle n’était pas du genre suivre des ordres aveuglément et son père se serait arraché tous ses cheveux si elle avait tenté. Pourtant elle perdait des camarades de toute façon, et un but de son coeur avec chaque fois. Alors elle donnerait rien à Callen, juste un peu de cul, un peu de caresses et ce serait tout. n’est ce pas ? Elle allait y arriver non ? Perdue dans ses pensées elle sentit le froid laissé par l’absence de contact. Il venait de s’arrêter en chemin. elle ronchonna qu’elle était pas d’accord. Il voulait jouer au convalescent ? C’était pas lui qui avait dit on s’en fout ?

– Pardon ? Tu vas remettre ta main au bon endroit ou je te fais des trou supplémentaires. Essaye pas de jouer avec la lionne si tu veux pas te faire dévorer !

qu'elle dit tout en s’approchant de lui, lui mit les mains sur ses seins prêts à l'emploi et lui mit un coup de langue sur le coin de l bouche. Il avait mal? Il avait qu’à pas faire l’idiot. Il devait assume, il avait tripoté, allumé, il fallait éteindre, et elle avait bien l’intention de profiter. Un coup de langue fut déposé sur son torse, histoire de lui rappeler que son temps était compté.

– Tu te reposeras demain, quand je serais partie.

Elle n’aimait pas penser au fait qu’elle n’était pas fan de le laisser seul après tout ça, mais il le fallait, elle allait pas l’attacher, right ?

Elle eut un sourire qui se mit à fondre quand il répondit oui madame. Elle allait avoir forte affaire avec celui là mais elle pourrait passer à autre chose en s’en allant le lendemain. Pour le moment, elle pouvait agir et pas réfléchir, chose qu’elle était pas hyper douée par contre. Voilà qu’il s’arrangeait avec sa jambe pour la coincer là, bon, elle avait pas essayé de s’enfuir mais un doux rire s'échappait Elle avait pas ri autant depuis un bail. Elle savait depuis quand et elle ne voulait plus y penser. Sa bouche couvrait son cou, ses hanches ses… Il avait joué de ses doigts, désormais, il entrait en elle et elle fut surprise une seconde pour ensuite se laisser complètement faire. Les allées et venues étaient accueillies avec des gémissement et son corps réagissait et sa peau devenait plus chaude, plus moite. Ils finirent par se laisser aller chacun son tour à la fin de ce moment et elle le regarda retomber comme un soufflé sur le matelas, le suivant de près. Elle le vit grimacer et comprit qu’elle lui avait fait forcer. Un tout petit peu inquiète elle posa sa main sur ses bandages, doucement. Elle se collait contre lui jouant avec les doigts de sa main. Il l’accusa honteusement d’avoir tenté de le tuer, elle sourit de nouveau.

– Pas du tout, c’est pas une méthode que j’utilise. Mais j’en ai d’autres bien pire.

Dit elle en caressant son bras en remontant sur son épaule, elle aussi jouait, mais plus pour sentir sa peau sous ses doigts que l’exciter. Sa main vint lui déplacer une mèche et lui dire merci. Elle ignorait pourquoi mais l’embrassait en réponse. C’était toujours ça de pris. Quand il lui demanda de rester au petit dejeuner elle hocha la tête et s’endormit peu après contre lui, son corps relâchant les tensions. Elle dormir d’une traite et ouvrit les yeux le lendemain alors qu’il dormait encore. Elle savait qu’une suprette était proche, elle sortit doucement, après s'être préparée et se rendit là bas pour le ptit déjeuner. Elle rentra et prépara tout un tas de trucs peu compliqués et les mit sur la table basse. Elle avait même pris du jus d’orange, pour un dernier petit dej, il devait être copieux. Elle vient le rejoindre et caresser son bras gauche pour le réveiller en douceur.

– Dépêche toi ou je mange tout. Je vais pas tarder, on vient de m’appeler, je dois vérifier un truc pour un contrat.

Elle voulait lui rappeler qu’elle lui accordait cette parenthèse et qu’elle s’en irait ensuite. pour se rassurer elle peut être, même si elle aimait pas l’idée qu’il ne soit pas protégé.

– J’enverrais quelqu’un surveiller le coin, ok ? Ils pourraient recommencer… Evite de te montrer en public quelques temps.

Et elle ne serait pas là pour les en empêcher ou le ramasser avant qu’il perde trop de sang.