ALEKSEI ► Huh, it's not the kitchen ?

ÂGE 40 balais.
ORIGINES & NATIONALITE Irlandais par maman et américano-irlandais de papa. Un ptit mélange, mais comme il bosse pour la mafia, on le laisse tranquille.
VILLE & DATE DE NAISSANCE ICI, un jour de pluie, le 15 Avril 1980.
STATUT SOCIAL très con. Il collectionne comme les autres se font des colliers. Pourtant, il pourrait bien avoir envie d'un nouveau partenaire de jeu.
ORIENTATION SEXUELLE hétéro.
OCCUPATION Officiellement, il gère les danseuses au pussycat. Officieusement, il fait le sale boulot de la mafia et plus précisément, des pontes de celle ci. Il bosse étroitement avec le service disparition et renseignements. Il fait ce qu'on lui demande, la petite secrétaire sexy de ces messiers qu'il déteste mais comme la famille a toujours bossé pour eux et l'entretiennent depuis que ses parents sont morts, c'est un peu son seul choix.
LOGEMENT un penthouse sur liberties, dans l’hôtel casino.
DEGRE DE CORRUPTION Selon son boulot il est l'est jusqu'à la moelle, selon lui, il déteste les agissements de la mafia et n'aime pas toujours son job ou plutôt ceux qui les donne. Sa morale reste fluctuante. Il n'est pas non plus choqué outre mesure par la déchéance humaine.
TRAITS DE CARACTERE Taquin, il adore pousser les gens à bout, il a tendance à s'arrêter à temps avec la mafia et encore ça dépend avec qui. Il aime voir  les gens partir au quart de tour et encore plus les femmes. Il est plutôt séducteur, bon cuisinier et il sait y faire pour obtenir ce qu'il veut. Pragmatique, organisé et un peu trop porté sur le controle.
GROUPE Wolves, il a beau nier, il fait partie de ceux là.Je vous laisse regarder du côté de petit Gabriel.
when the story began Alek est né dans une famille soudée qui mettait la rigueur au dessus de tout. bIen sur, Alek était là pour montrer qu’il savait où il allait et qu’il déciderait lui même ce qu’il ferait. Il avait en horreur qu'on lui dise quoi faire dire ou autre. Il a comprit très vite que tout le monde côtoyait la lie de Dublin, et ça, au début, il trouvait ça cool. Il est ado quand il comprend ce qu’implique vraiment le travail de ses parents. Tout ce que la mafia veut, ils font. Faire passer des gens, cacher d’autres, faire de nouveaux papiers, faire disparaître des témoins gênant. Il commence à montrer son désaccord et file ailleurs pour se perdre dans les danseuses exotiques. Il a que 17 ans mais déjà, il commence à faire un rejet de cette ville.

A 18 ans, ses parents sont tués à cause d’une énième “course” pour ses employeurs. il décide que cette mafia est un nid à merde, et se voit obligé de bosser pour eux à son tour, même s’il ne fait pas les mêmes jobs qu’eux. Son père l’avait formé aux armes et aux disciplines d’art martiaux, sa mère à l’utilisation du charme pour obtenir ce qu’on veut. On le forma de manière plus importante pour parer aux futures demandes de ses nouveaux employeurs. Il comprend qu’il n’a pas le choix quand on lui donne suffisamment pour habiter dans un hôtel casino dans un penthouse. Il se noie dans les draps, il est encore jeune pour comprendre qu’il aurait dû fuir.

Il en a 21 quand il repère une jolie demoiselle qu’il ferait bien son quatre heure au pussycat, et les autres suivirent comme à la queue leu leu. La morale devient plus souple à force de n’être entouré que par des personnes qui ne le tirent pas vers le haut.

– Hey Alek, tu crois qu’on peut aller s’en boire une ? Enfin, dès que tu auras appris comment on danse à la ptite blonde. Alek hausse le sourcil et comprend. La blonde, cette jeune femme qui se voit, comme lui, obligé de payer une dette qu’elle n’a pas mérité. Alors il lui parle de trucs moins glamour que la mafia “propose”, tel un bon ptit conseiller service emploi, il l’initie aux charmes du nettoyage et des matières dégoulinantes. Ce qu’on ne sait pas, ne voit pas, du monopole de la mafia. Ça paye bien et peut être, elle s’en sortira là où lui est coincé.

Ce ne sera pas la première qu’il engage ou qu’il conseille, entre déchets recrachés, autant s’entraider. Il a des scrupules mais ceux ci s'estompent plutôt vite, c’est juste l’idée qu’il soit obligé de suivre les ordres, de faire ce qui le rebute. Il se retrouve d’ailleurs dans trop de situations dangereuses pour les compter et c’est ainsi qu’il obtient sa carte de membre VIP à la clinique du coin. Il y va tellement qu’il connaît tout le monde, et qu’il rend chèvre le personnel étant vraiment pas du contact  et qu’on lui dise quoi faire, toujours le côté borné et fier. A force ils envoie l’artillerie lourde, mais il se trouve qu’il pourrait bien finir par l’ajouter à sa cause.